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JUAN BRANCO : VERS LA REVOLUTION ? (Pas Content avec Tabibian ! #S03E01)
▇ SOMMAIRE : 00:00:00 - Dans cet épisode 00:01:09 - C'était bien les vacances ? 00:04:14 - Avocats et diners en ville 00:06:00 - Branco au Gouvernement ? 00:08:49 - Quand le Gouvernement a peur d'un Fenwick (et d'un homard) 00:18:16 - Journalisme spectacle…
On denonce l’horreur oui, ces corps massacrés, terrorisés, ces inconscients rappelés à la cruauté.
On pourrait à l’infini continuer, car oui, comme nous tous, et plus encore que beaucoup peut-être, nous avons à tout cela pensé, foulant ces terres et lisant à leur sujet, de l’histoire à la poésie. Rappeler que tout cela n’est pas le fait de juifs, que l’Egypte, en enfermant les palestiniens, contribue à la dévastation d’un peuple expulsé, maltraité et colonisé.
Que ces mêmes juifs ont de partout été écartés, avant de se voir en ces lieux projetés, et devenir les parents des violences qui les avaient éparpillés.
Qu’il ne s’agit en conséquence pas de religion ou d’identité mais de terre, simplement de terre, et de politicité.
Qu’il ne s’agit donc pas plus d’Islam, et qu’il ne faut en ces terres rien projeter. Car les fondamentalismes qui y habitent légifèrent également, des orthodoxes juifs jusqu’aux plus pieux des frères musulmans, des mondes à mille lieux des nôtres sans que l’on puisse, sans que l’on ne doive, aux uns ou aux autres se rattacher.
On pourrait continuer, prolonger. Mais à force de commenter l’écume, l’on se noie. Il n’y a rien à penser, si ce n’est que demain, on les oubliera.
Puis ça nous reviendra.
Car nous ne sommes pas là. Car ce ne sont pas nos terres, nos corps. Nos pensées.
Car l’on pourra penser autant que l’on voudra aux enfants de Gaza, à qui nous rendîmes hommage à Dakar, alors que le monde auquel ils n’avaient plus accès les obliterait.
Se dire qu’au moins, dans ces marées de sang, ils se verront rappelés à ce monde qui les avait effacés.
Écarter tout vindicatif et rappeler que cela ne nous fera oublier ceux qui de toute autre identité se sont vus massacrer. Mais voilà qu’une nouvelle fois nous nous retrouverons, consciemment ou inconsciemment, à hiérarchiser selon nos sensibilités.
À se montrer inconséquents, et à alimenter la machine à dire et à juger.
La vérité est que nous assistons en spectateurs à une dégénérescence sur laquelle nous ne pouvons peser, si ce n’est par l’énonciation de savoirs et de regards partiels et toujours plus segmentés.
Faut-il veiller, avec pudeur, à nous tenir, faute de moyens d’agir, écartés ? Plutôt que rugir et s’indigner ?
Ce serait peut-être la posture la plus digne à adopter alors que partout ailleurs tant de misères continuent de nous indifférer.
Les afghans ont perdu 2500 des leurs dans le silence que ce conflit engendrait, sans que personne ne se préoccupe de leur transmettre moyens de secours ou simplement pensées, en des terres que nos indignations et nos idées auront pourtant, ces quarante dernières années, ravagées.
Apprenons de leurs sorts. Nos mémoires sont pleines d’indignations oubliées, qui autant de cadavres ont enfanté. Ce que nous écrivons aujourd’hui pour nous rassurer et nous retrouver n’aura probablement que pour effet que de heurter et blesser les terres et sujets que nous nous serons choisis.
Préférons l’humilité et la proximité, qui tant de difficultés déjà nous présentent à l’heure de nous montrer à la hauteur de nos pensées.
Comme avec ce tweet, comme avec tout tweet qui, relayant une « information », cherchera à véhiculer une position.
Vous dire, par exemple, comme le font tant d’autres que si le Hamas a pu massacrer, c’est que d’une façon ou d’une autre, parce que Netanyahou les a laissés. Parce qu’il les a, consciemment ou inconsciemment, laissé faire, et ainsi laissé mourrir les siens pour survivre lui, politiquement et personnellement. Pas seulement parce que l’Egypte savait et avait prévenu. Donc consciemment. Mais parce que son idéologie et son pouvoir l’auraient aveuglé, comme le reste de la société, aveuglés au point de ne voir que les colons et un système judiciaire que chacun cherchait à contrôler, plutôt que la misère qui mois après mois à leurs pieds montait. Au point de s’organiser. Au point de se montrer prête à massacrer.
On pourrait entrer dans la foire d’empoigne et les enchaîner, les faits, commenter le Hamas, le Qatar, ce cher allié, son principal financier à qui 24 rafales supplémentaires s’apprêtent à être livrés. On pourrait dire que tout cela est un immense jeu de dupes comme l’ont toujours été les conflits au cours de l’humanité.
Remonter à 1948, à la première croisade, à Abraham et Mathusalem - parce que oui, ce conflit se nourrit de cette éternelle et mythologique capacité à faire récit, récit qui lui seule la violence peut enfanter.
Si l’on veut parler de terrorisme, parlons de cela, puisque la terreur, ils l’ont voulue, ils l’ont recherchée, pourrait-on dire, pour rappeler que si l’on parle de l’Iran, ce n’est que pour masquer par tout moyen possible la responsabilité de nos alliés dans ces violences que l’on fait mine de dénoncer. Du gaz au sang: après tout, le pétrole n’est il pas que le compost de putréfactions, des millions d’années durant, accumulées ?
Le Qatar, ces chers alliés, donc, qui continue de tout alimenter, tandis que l’on ne fait que parler de l’Iran pour le masquer, et du PSG pour oublier. Mais aussi le Hamas, cette instance soutenue par ses adversaires pour éparpiller l’OLP, démocratiquement élue avant d’offrir, par sa même élection, le pont en or dont tous ses ennemis rêvaient pour détruire cette cause qui tant les inquiétait, tandis qu’Arafat, dans les conditions que l’on sait, crevait, et qu’un bientôt grabataire et déjà corrompu le substituait pour éteindre ce qu’il restait du rêve d’une Palestine émancipée, dans l’hypocrite indifférence de ses alliés.
On pourrait continuer à en parler, de tout cela, s’alimenter et se gargariser de ces femmes, hommes et enfants massacrés, en empilant sur eux faits, récits, distorsions et manipulations.
On pourrait le rappeler, aux ignorants qui pensent tout cela maîtriser, heureux de leur ignorance et de les assurances qu’elle ne cesse d’alimenter. Leur demander: qu’est ce que le mot terrorisme, si ce n’est un creux qui ne dit rien à ceux qui de l’ordre ne connaissent que la violence ?
Qui rappellera l’Irgoun à ceux qui s’emplissent de mots pieux ? Deir Yassin, le Lehi… Begin, prix Nobel de la paix ? Actes, organisations, fondateurs d’une nation. Est ce vraiment la méthode que vous dénoncez, ou la possibilité qu’elle vous soit à vous, vous qui pensiez enfin avoir accédé à la tranquillité, appliquée ?
On pourrait s’enfoncer dans la pensée, et demander à ceux qui s’indignent que des civils aient été touchés, comme si le civil, en des sociétés en guerre, miltarisées, était une donnée qui pouvait être différenciée. À eux, plutôt que de leur demander à quel moment la mort devient décente et digne on pourrait demander: qu’est ce que l’organisation d’une rave aux pieds d’une prison à ciel ouvert, si ce n’est l’expression la plus futile, la plus ultime, d’une forme d’indécente jouissance, qui au mal ne pouvait qu’appeler ? Et comment s’étonner qu’elle ait été visée ?
Qui rappellera que dans les kiboutz d’à côté, gloire d’hier, on proposait des visites guidées en voiturette de golf, autour de ce mur érigé pour enfermer ?
Alors, on criera aux orfraies. Comment, vous légitimeriez ? L’horreur ? Non. On la conchie. Comme d’autres l’enfouissent.
Ce à quoi l’on assiste avec ce conflit, c’est au réel transformé en spectacle, à la consécration de l’obscénité de nos sociétés.
Une société ou des prédicateurs s’amusent à compter et conter l’horreur, jusque l’infini, sans cesser.
On peut l s’interroger sur les ressorts de cette fascination, macabre, pour une situation virtualisée à l’extrême par ces comptables et petits boutiquiers, sur laquelle chacun semble empressé de se prononcer partiellement ou entièrement, selon les ressorts qu’il cherche à activer, afin de se distinguer, pillant les corps pour se monter du col, faire comme si son avis pesait, comme si le réel importait.
La réalité est que le réel ne compte pas, que tout le monde s’en fout, et que seul importe ce que ces corps peuvent en retour, de pouvoir et de savoir, en nos sociétés, engendrer. La réalité est que nous aimons ce conflit en ce qu’il est et demeure une pure virtualité, à mille lieues de nous concaténé. Et que l’on peut donc, sans risque, éprouver le sulfureux plaisir de le commenter, de se prononcer à son sujet, et d’ainsi s’en alimenter.
On bouffe de la chair crue avec ce conflit. De la chair de cadavre à peine macéré.
Le nombre de projections fantasmatiques qu’il suscite, et la radicalité qu’elles emportent, sont certes aberrants, et montrent que le fait religieux, nos trois monothéismes, restent structurants de nos affects et névroses. Ils sont si loin, ces cousins dont on est ainsi protégés, mais si proches aussi, qu’ils nous permettent de nous projeter.
Vous êtes tous des vampires, à projeter vos désirs, votre soif de sang, en commentant, élucubrant, jugeant et « informant » à longueur de journées.
La réalité n’est pas réductible à vos tweets, ni à un quelconque des récits que vous enfanterez. La réalité est faite d’odeurs et de corps décomposés, de vies qui tarderont des siècles à se recomposer, et qui n’auront que faire de ce que vous en aurez pensé.
Là bas, en bas, sous votre regard, il y a de vrais corps, de vrais esprits qui sont affectés. Il y a des vies entières qui en dehors de l’orgie de l’instant vont payer, pliées, ployées, cette déferlante de mots visant à condamner ou emporter, bref, à les utiliser.
Là bas en bas il y a votre matière, votre aliment, ce que vous utilisez.
Les événements sont, en général, utilisés comme instruments de réajustement éthique au sein de sociétés. Ils génèrent du ressenti qui est absorbé pour être immédiatement recraché sous forme de jugement partiel, et parcellaire, permettant de faire groupe, après s’être scindés et à nouveau retrouvés. Ils fécondent notre corps social.
La Palestine et Israël nous servent de purin pour abonder celui-ci. Ils sont, depuis leur mise sous tutelle coloniale, ou peut être depuis que Jérusalem est, l’un des espaces sur lesquels on aime se projeter pour se purger, s’engueuler, se rabibocher.
Ils sont nos instruments, que l’on aime manier et agiter. Derrière notre dégoût, notre indignation, le plaisir de juger et de manipuler.
« L’information » permet de confirmer ou infirmer ces jugements, de les réactualiser en une forme de jouissance crasse qui donne l’impression du pouvoir, le sentiment du puissant. Juger oui, quel bonheur, surtout lorsque ce jugement se voit confirmé.
C’est ce qui explique l’avidité avec laquelle tous se jettent sur l’irresoluble pour l’absorber et le recracher.
On peut les enchaîner, les faits, tant ils sont nombreux, et tant ils peuvent nourrir des perspectives éthiques contradictoires. Le réel, face au récit, importe peu. L’irresoluble du réel est ce qui nous permet de sans cesse d’alimenter notre pouvoir, enchaînant les postures morales sans ne jamais se préoccuper d’une parole qui, performative, permettrait d’avancer.
Chercher à dire et à convaincre. Très bien mais pourquoi ? Pourquoi se montrer si faussement impliqué ? Si passionnés d’un sujet sur lequel notre avis est sans effet ?
On pourrait vous en partager des choses en jouant au chien savant. En ajoutant le bruit à la fureur. En se distinguant.
Les milliardaires ont besoin d'hommes de main pour contrôler leurs rédactions sans jamais laisser apparaître leurs interventions.
Louis Dreyfus et Jérôme Fenoglio jouent ce rôle là au sein du groupe Le Monde. Ils sont les chainons fondamentaux du contrôle par Xavier Niel de ce groupe qui contient Télérama, La Vie, Le Monde Diplomatique, etc.
Ils nomment, recrutent, promeuvent et sanctionnent sur instruction, et utilisent l'encadrement, les chefferies de rédaction pour orienter et manipuler le traitement de l'information.
Louis Dreyfus, qui gère toute une série d'autres médias pour M. Niel, déjeune tous les 15 jours avec lui pour s'assurer que tout avance comme espéré ; Niel, dont on rappelle qu'il est reçu toutes les semaines à l'Elysée. Rencontré grâce à Pigasse, M. Dreyfuss avait notamment assuré le recrutement au Monde de l'un des amants de Bergé pour l'amadouer, où il l'avaitchargé de parcourir le monde pour "tester des hôtels" dans une rubrique tourisme parfaitement orientée.
Ces hommes et leurs mensonges ont pour fonction de protéger leurs oligarques, mais aussi de nourrir la fable visant à rassurer les journalistes et le public, qui ne souffrent ainsi jamais d'interventions directes et peuvent fantasmer à leur indépendance.
C'est le cas avec ce "fond d'indépendance de la presse", qui est en fait contrôlé par des gamins de vingt ans, Jules et John Niel, avec qui Xavier Niel a fondé NJJ Presse (Pour Niel, Jules et John, donc).
Xavier Niel a le pouvoir d'y désigner quatre des six administrateurs, qui n'est ainsi que son instrument. C'est comme cela qu'il y a fait nommer Jules, son enfant.
Pensez donc, un gamin qui n'a de mérite que d'être le fils du propriétaire milliardaire siège au "board" de cette toute puissante fondation censée protéger l'indépendance des ouvriers de l'information !
On rit jaune, mais ce système, qui se reproduit ailleurs, constitue l'un des plus puissants piliers de corruption qui explique la façon dont ce pays s'est effondré. Chaque oligarque a son homme de paille, fort bien payés pour oublier le mal qu'ils fait. Kretinsky a Denis Olivennes, tandis qu'Arthur Dreyfuss a pris des galons auprès de Patrick Drahi.
Mais revenons au Monde. Comment faire confiance à des journaux qui mentent à ce point sur eux-mêmes, de façon si orwelienne ?
Xavier Niel, qui a fait de la DP pour proxénètisme, meilleur ami d’Emmanuel Macron et gendre de Bernard Arnault, rachète à Daniel Kretinsky - qui prospère sur l’exploitation du charbon et l’achat de médias pour s’attirer les faveurs de Macron - ses parts dans groupe Le Monde.
M. Niel annonce immédiatement léguer ses parts au « fond d’indépendance pour la presse ». Tout Paris acclame.
Ce même « fond pour l’indépendance pour la presse » qui est en fait contrôlé par… les enfants à peine majeurs de Xavier Niel.
Niel est ou a été par ailleurs détenteur de parts dans l’Obs, La Provence, Nice Marin, France Antillles, Mediapart, Mediawan, Brut, Atlantico, Les Jours, Corse Matin, Lagardère Studios, Cavous/Cdansl’air… tandis que son beau-père, homme le plus riche du monde, contrôle Le Parisien, Les Échos, est le premier annonceur de France, etc. Kretinsky, associé à Niel, se contente quant à lui de Marianne, Franc Tireur, Libération, Elle, etc.
Le reste est à l’avenant (le meilleur ennemi de Niel, Drahi, ayant dû racheter BFM/RMC, Libé et l’Express pour obtenir SFR ; tandis que Bolloré s’emparait du JDD, Paris Match, Europe 1, Canal, CNEWS, Capital, Voici, Gala ou encore Hachette et Editis pour peser sur l’Elysée. Quant au dernier venu, Rodolphe Saadé, qui joue quotidiennement à copain copain avec l’Élysée, au point de faire nommer le plus que soumis Bruno Jeudy à la tête d’un nouveau média, mieux vaut ne pas en parler. Heureusement que RadioFrance n’est pas dirigée par une copine de promo de Macron… oups, pardon. C’est bien le cas, les PDG de l’AFP, France TV et France24/RFI étant également nommés indirectement par l’Elysée)
Ce n’est plus 1984. C’est sa caricature.
Il est impossible de survivre en dénonçant en bloc le fonctionnement oligarchique de ces médias. Seules des offensives partiales et partielles, en se préservant des alliés, permettent de subsister. Au prix de la vérité. Au prix du devenir de la France, affaissée par ces liens incestueux qui n’ont pour but que de maintenir le contrôle d’une caste sur l’Etat, et les mannes qu’il permet d’arracher aux français.
Qui contrôle les médias contrôle l’élection et donc l’accès aux ressources de l’Etat et à sa protection. Tous ces milliardaires, pour beaucoup délinquants avérés, ont fait fortune soit grâce à la commande publique, soit grâce à ses instruments de régulation, soit grâce à son intervention directe sur leurs marchés.
Ils ont certes perdu, via les réseaux sociaux, une partie de leur pouvoir, puisqu’ils contrôlent désormais moins la diffusion de l’information, tout en se trouvant en situation de quasi-monopole sur sa production.
C’est pourquoi cependant tandis que M. Sarkozy avait fait nommer son conseiller Laurent Solly, compagnon de Caroline Roux, à la tête de Meta France (Facebook, Instagram), M. Macron s’est rapproché d’Elon Musk, a offert la nationalité aux fondateurs de Telegram et de Snapchat, ce qui lui a par exemple permis - comme l’a admis la directrice des relations publiques de Snapchat - de faire censurer en direct les contenus sur ce réseau lorsque les émeutes de juillet intervenaient.
Les dénoncer en bloc, plutôt que pour servir l’un ou l’autre clan, c’est s’exposer à une mort sociale et politique immédiate. C’est ce que nous avons fait dans Crépuscule, avec les conséquences que l’ont sait.
Ces individus sont les pires ennemis de la démocratie.
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