Ça commence vraiment à devenir intéressant cette histoire de biographie non officielle

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N’empêche qu’acheter sous le manteau un livre sous l’ère soviétique en URSS semblait bien plus simple que d’acheter une simple bio non autorisée en 2025 sous le règne des Macronescu

https://www.kairospresse.be/et-si-cetait-du-a-une-vaccination/

Vous avez aimé la génération Charlie et Bataclan du terrorisme ? Vous allez adorer la relève...

https://www.francetvinfo.fr/monde/revolte-en-syrie/djihadisme-trois-enfants-francais-rapatries-de-syrie_7090155.html

Des sources au sein de la (DGSE) ont révélé qu’une opération d’urgence classifiée, nom de code Projet VERTIGO, a été déclenchée début janvier 2025. La mission ? Effacer, modifier et supprimer toutes les traces de l’identité originelle de Brigitte Macron qui n’auraient pas encore été "nettoyées"

Imaginez qu'un type impliqué dans une affaire de prise illégale d'intérêts soit à la tête du Conseil Constitutionnel pour succéder à un autre type responsable du scandale du sang contaminé... Et tout cela grâce à l'abstention des députés du RN.

Non, je déconne, mais imaginez quand même.

Scoop exclu

Xavier Poussard, celui qui a enquêté depuis 2017 sur la galaxie Macron et depuis 2021 sur "Brigitte" est en phase de finalisation d’un contrat pour les droits d’adaptation cinématographique du BrigitteGate basé sur ses 3 années d’investigation.

C’est une énorme société de production hollywoodienne qui est en passe de décrocher le contrat.

Xavier Poussard aura un droit total de vue et d’accord sur le scénario basé sur la vie de Jean-Michel Trogneux telle qu’elle a pu être reconstituée dans son livre qui s’annonce déjà être un best seller.

Il est aussi question que le film sorte sur les écrans exactement entre février et mars 2027. Condition suspensive au contrat sous peine de grosses pénalités …

Celui qui rêve d’un 3eme mandat va devoir se reposer une fois de plus sur les médias français qui lui sont toujours restés fidèles et admirablement dociles …
Feront-ils fi de tout cela, resteront-ils fidèles à leurs habitudes ?

On ne mord pas la main qui nourrit.

J’ai épousé l’Union européenne.

C’était un mariage d’amour, bien sûr. On m’avait promis la prospérité, la liberté, la fraternité des peuples… Un conte de fées moderne où les frontières tombent et où l’avenir s’annonce radieux. Mais comme dans toute union idyllique, il y a eu des surprises.

D’abord, mon compte en banque a fondu plus vite qu’un glaçon dans le désert. "C’est normal", m’a-t-on dit, "c’est le prix du progrès." Ensuite, mes valeurs ont été reformatées, mises à jour pour coller aux nouvelles normes. "C’est l’inclusion", m’a-t-on soufflé. Désormais, je dois aimer tout ce qui m’était étranger et mépriser ce qui m’a construit.

Puis un matin, entre deux augmentations du prix du gaz, j’ai compris qu’il me fallait un nouvel ennemi. Un frère d’hier, un tyran d’aujourd’hui. On m’a désigné le Russe. "Il est impérialiste, dangereux, il menace la démocratie." Et comme tout bon citoyen du grand bloc, je me suis redressé, j’ai avalé mon discours prêt-à-penser et je me suis préparé à haïr.

Demain, paraît-il, il faudra prendre les armes. Pas pour défendre ma nation – non, elle n’existe plus vraiment – mais pour sauver des "valeurs". Lesquelles ? Peu importe. On me dira lesquelles au bon moment.

Ainsi va la grande marche du progrès. Je l’ai voulue, je l’ai eue

Illustration : propagande soviétique 70s : l’Europe, la paix et le progrès