Vous voulez la suite de l'histoire ?

Voulez-vous la suite de l'histoire ?

Je crois qu’il me faudra aussi mener mes enquêtes sur lui pour découvrir qui il est et surtout, ce qu’il me veut réellement……………

Moi (souriant) : je ne te le fais pas dire. Elle t’a beaucoup appréciée et je suis content de ça.
Dija : je suis ravie !
J’ai appelé en chemin le détective qui m’a dit qu’il était aussi en route.
Une fois arrivés devant le restaurant, nous sommes rentrés pour nous poser. Je racontais à Dija quelques anecdotes qui lui faisaient rire.
J’étais entrain de lui expliquer comment un de mes amis a trimé pour avoir sa femme, lorsqu’un homme que je présume être le détective nous a interrompus.
Mactar : Monsieur Ndiaye ? Je me présente Mactar Gaye.
Moi (lui serrant la main) : bonjour monsieur. Prenez place.
Il a attardé son regard sur Dija avant de la saluer mais tout comme moi la première fois, il s’est prit un vent.
Dija (gênée) : je ne donne pas la main aux hommes, désolée.
Mactar : ce n’est pas bien grave. J’aurais dû deviner cela. Les belles femmes ne réfléchissent pas comme les autres.
Je rêve ou bien il est entrain de lui faire du rentre dedans ?
Dija : ok !
Voilà un autre des points que j’apprécie chez elle, elle s’ouvre très difficilement aux inconnus. Au moins elle ne se fera pas draguer par n’importe qui.
Mactar : je suis désolé pour le déplacement.
Moi : ce n’est pas bien grave. J’ai été curieux que vous m’appeliez étant donné que je n’ai jamais eu affaire à un détective.
Mactar : effectivement ! Si j’ai tenu à vous voir c’est parce que je préférais vous avoir en face de moi pour aborder ce sujet.
Moi : je vous écoute !
Mactar : avez-vous déjà entendu parle de Idrissa Gaye ?
Moi : l’homme d’affaire qui a construit plusieurs mosquées ?
Mactar : lui-même ! Je suis son fils et je travail pour lui depuis des années déjà.
Moi : c’est bien !
Jusqu’à lors, je ne vois pas trop la raison de ma présence ici.
Mactar : il m’a demandé de faire des recherches sur des personnes à employés pour le poste de directeur des finances. Je vous connais depuis que vous travailliez pour Monsieur Faye qui est d’ailleurs un bon ami.
Moi : ok !
Mactar : j’ai mené quelques enquêtes, et on ne m’a dit que du bien de vous. Si je suis ici c’est pour vous proposer de travailler avec nous ! Vous serez très bien payer. Je donnerai tout pour que vous travailliez avec nous. Sachez aussi que votre prix sera le notre.
Si je m’y attendais ! Mais depuis quand les détectives s’occupent du recrutement ?
Moi (surpris) : je ne m’y attendais pas.
Mactar : quand on voit une bonne personne de surcroit compétent, c’est normal qu’on veuille l’avoir à nos côtés.
Moi : permettez-moi d’y réfléchir.
Mactar : prenez tout votre temps. Vous savez où me joindre. Ce sera un honneur pour nous de travailler avec vous.
Moi : ok merci c’est gentil.
Nous avons encore parlés de tout et de rien avant d’écourter la rencontre.

Je suis actuellement dans la voiture avec Dija.
Moi : qu’est ce que tu penses de lui ? Tu m’as l’air bien silencieuse depuis tout à l’heure.
Dija : je ne sais pas pourquoi, mais il ne m’inspire pas confiance.
Moi (étonné) : comment ça ?
Dija : une personne que tu ne connais ni d’Adan ni d’Eve, vient te dire qu’il a mené des enquêtes sur toi et il te propose à la suite un poste qui n’est pas donné à tout le monde sous prétexte qu’on lui a bien parlé de toi. Qui sont ces gens qui lui ont parlés de toi ?
Moi : j’étais tellement surpris que je n’ai pas réfléchis à tout ça.
Dija : en plus tu m’as dit qu’on t’avait viré de ton ancien poste et lui apparemment il est ami avec ton ex patron. S’il voulait vraiment de toi, soulignerait il qu’il est l’ami d’une personne qui t’as viré sans raison ? Dieu t’a déjà assigné à un poste auquel tu ne t’y attendais pas. Si j’étais toi, j’allais m’en contenter pour le moment. En plus de toi à moi, il y a un air chez lui qui ne me plait pas.
Moi : ok merci les conseils !
Dija : on est ensemble.
Je lui accorde qu’à moi aussi il ne m’inspire pas du tout confiance. Si Dija a raison alors pourquoi tient-il à m’offrir ce poste ? Quelle en est la véritable raison? Avec le temps, j’ai appris qu’il ne faut pas faire confiance à n’importe qui.

Mariama : qu’est ce qui ce passe entre toi et Omar pour que tu te comportes ainsi avec lui ? Si mes souvenirs sont bons, vous êtes amis n’est ce pas ? Là vous vous comporter à la limite comme des inconnus.
Nous sommes sur le chemin du retour actuellement. On était sortie pour des examens que le docteur lui a demander de faire.
Moi (ton agressif) : depuis quand sont ils amis ?
Mariama (surprise) : de qui tu parles ?
Moi : Ta cousine qui est censée venir se refaire et Omar.
Mariama : depuis que je les ai mis en contact. Elle a besoin de taf et il a proposé de l’aider.
Moi : n’étais-je pas censée lui trouver du boulot ? Depuis quand fais tu les choses en cachette ?
Mariama : je ne fais rien du tout.
Moi : bien sûr que si. Tu trafiques maintenant dans mon dos ?
Je suis hors de moi.
Mariama (voix tremblante) : Pourquoi tu te fâche pour si peu ?
Moi (haussant le ton) : pour si peu ? Attend que je dise à Tantine ce que sa fille adorée fait ici. A peine arrivée, elle accepte de se faire draguer par n’importe qui.
Mariama : Je te rappelle qu’il s’agit de ton ami. Un ami que tu côtoies depuis des années. Aujourd’hui tu oses dire que c’est n’importe qui ?
Ça me saoule de plus en plus de l’entendre parler de lui ainsi.
Moi (ébahis) : je ne savais pas que tu avais la langue aiguisé. C’est ton amant n’est ce pas ? Regarde comment tu prends sa part.
Mariama : Je me respecte trop et je crains trop Dieu pour forniquer. Je n’ai pas la langue aiguisé. Je te dis simplement la vérité.
Elle est vraiment entrain de me mettre dans tous mes états.
Moi : Revoie ta manière de me parler sinon tu vas le regretter.
Mariama : je n’ai pas peur de toi Latif.
Je me suis senti obligé de garer quelque part.
Moi (me tournant vers elle) : je crois que j’ai mal entendu. Qu’est ce que tu as dis ?
Mariama (me regardant dans les yeux) : j’ai dis que je n’ai pas peur de toi.
Si je n’avais pas juré de ne plus la toucher à cause de son état, je lui aurais réglé son compte depuis.
Moi : Que ce soit la première et la dernière fois que tu me parles sur ce ton. Me suis-je fais comprendre ?
Mariama : tu peux retourner au boulot. Je vais continuer mon chemin seule.
Elle est descendue de la voiture sans m’accorder le moindre intérêt. J’étais tellement ébahi que je l’ai regardé faire sans tenter quelque chose.
Depuis quand s’adresse t elle à moi de la sorte ? Quel épisode ai-je manqué ? Tout ça c’est de la faute de sa stupide de cousine. Elle a sûrement dû lui mettre des trucs dans la tête.
La femme Mariama que j’ai façonné à ma guise vient elle de me planter comme un vulgaire inconnu ?
J’ai redémarré ma voiture en trombe. Il faut que je décompresse sinon je risque de perdre la tête. Amina aurait elle raison ? Mariama est elle au courant de ce qui ce passe ? Je sens que je vais bientôt devenir fou avec toutes ces questions.

Salut a tous ,écrivez moi souvent pour me rappeler des histoires à envoyé