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**Clients pédocriminels en liberté
15.07.2024 Québec - Canada : Recrutée dès l’école secondaire, une adolescente de 15 ans a dû se prostituer pendant des mois au bénéfice de ses proxénètes. Deux hommes et une complice ont reconnu leur culpabilité lundi et risquent maintenant la prison.**
Renzo Lopez Pacheco, alias « Nino », et Diosmany Lores Almaguer, alias « Dr. Love », ont choisi lundi de couper court à leur procès qui devait s’amorcer au palais de justice de Montréal. Les hommes de 32 ans ont plaidé coupables à trois chefs d’accusation reliés au proxénétisme à l’égard d’une adulte, et ce, malgré l’âge de la victime.
Leur complice, Lysa Witzil-Poupart, une femme de 29 ans surnommée « Maya », a plaidé coupable à un seul chef d’accusation en lien avec la publicité des services sexuels.
Mila* a 15 ans quand une amie de l’école secondaire lui présente son proxénète, Renzo Lopez Pacheco, au printemps 2018. Aussitôt, Mila commence elle aussi à « travailler » pour lui. C’est la coaccusée Lysa Witzil-Poupart qui l’initie aux règles de la prostitution. Mila reçoit ses clients au Chomedey Inn de Laval et dans un appartement du centre-ville de Montréal.
Renzo Lopez Pacheco fixe les tarifs : 140 $ pour une demi-heure et environ 200 $ pour une heure. Si le « client » veut un baiser, c’est 60 $ de plus. « Nino » s’occupe des clients, alors que « Maya » prépare les annonces. Mila leur remet ses gains, mais en récupère une partie.
Quelques mois plus tard, Mila commence à travailler pour Diosmany Lores Almaguer, alias « Dr. Love ». Elle a alors 16 ans. Les faits présentés en cour ne permettent pas de comprendre la raison de ce changement de proxénète. Dans tous les cas, Mila continue de se prostituer au même hôtel de Laval ou chez le proxénète.
« Lors d’une soirée, [Mila] relate avoir fait 10 clients sous la contrainte de Dr. Love. [Mila] craint que Dr. Love s’en prenne physiquement à elle si elle arrête de faire des clients », indique le résumé des faits, lu par la procureure de la Couronne Me Ann Marie Prince.
C’est Diosmany Lores Almaguer qui engrange la majorité des profits. En moyenne, Mila fait environ sept « clients » par soir, et parfois davantage. Elle affirme avoir déjà gagné entre 1000 et 2000 $ certains soirs lucratifs.
Mila réussit à se sortir de l’emprise de son proxénète un soir d’octobre 2018. Alors que Diosmany Lores Almaguer refuse de la reconduire chez elle et l’oblige à continuer de travailler, l’adolescente le menace d’appeler la police. Elle ne le revoit plus jamais.
Au départ, les deux proxénètes étaient accusés de traite de personnes d’une mineure, une accusation très grave. Or, ce chef a été retiré par la Couronne à l’enquête préliminaire.
Les parties entendent présenter une suggestion commune de peine de détention ferme à l’endroit des deux hommes.
L’entente est le fruit d’une « longue, longue, longue négociation », a indiqué Me Ludovic Dufour, avocat de M. Lores. « La victime n’a jamais eu à témoigner », a-t-il ajouté. D’ici là, Diosmany Lores Almaguer demeure en liberté. Il s’est installé dans un milieu « moins chaud » avec sa famille et a respecté toutes ses conditions de remise en liberté, a fait valoir Me Dufour.
Me Steeve Rancourt défend Renzo Lopez Pacheco, alors que Me Katherine Labelle défend Lysa Witzil-Poupart.
Le dossier reviendra en septembre prochain devant le juge Thierry Nadon pour l’imposition de la peine.
*Nom fictif pour protéger l’identité de la victime
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La Presse
Une adolescente de 15 ans était dans les griffes de deux proxénètes
Recrutée dès l’école secondaire, une adolescente de 15 ans a dû se prostituer pendant des mois au bénéfice de ses proxénètes. Deux hommes et une complice ont reconnu leur culpabilité lundi et risquent maintenant la prison.
17.07.2024 Arizona - USA : Distrait par sa Playstation, Christopher Scholtes,un père de famille de 37 ans a laissé Parker, sa petite fille de 2 ans agoniser pendant 3 heures dans la voiture alors qu'il faisait plus de 42°C. Hospitalisée, Parker y est ensuite décédée. A la demande de la mère et épouse, Christopher Scholtes reste en liberté sans caution jusqu'à son audience préliminaire fixée ce 1er août.
La petite Parker, 2 ans, est morte dans de terribles circonstances, mardi dernier à Marana (Arizona). La température dépassait les 42°C quand Christopher Scholtes s'est garé devant chez lui. L'Américain de 37 ans assure avoir décidé de laisser sa fille dans son siège auto pour ne pas la réveiller, et qu'elle y est restée environ une demi-heure. Les preuves récoltées par les enquêteurs révèlent une tout autre réalité: Parker a succombé après avoir passé plus de trois heures dans la voiture, en plein soleil.
Durant son interrogatoire, Christopher Scholtes a affirmé être arrivé chez lui à 14 h 30. Il a expliqué avoir laissé tourner l'air conditionné, tout en sachant qu'il allait s'éteindre automatiquement après trente minutes. Or les images de vidéosurveillance d'un voisin montrent que le père de famille s'est garé à 12 h 53 devant sa maison. L'enregistrement prouve par ailleurs que l'Américain n'est jamais sorti pour vérifier que sa fille allait bien. Ce n'est qu'à 16 h 08, quand elle est rentrée du travail, que la mère de Parker l'a retrouvée inconsciente.
Alors que la petite était emmenée d'urgence dans l'hôpital où Erika Scholtes travaille comme médecin anesthésiste, celle-ci a envoyé des SMS à son mari, resté à la maison avec le reste de la fratrie: «Je t'avais dit d'arrêter de les laisser dans la voiture, combien de fois je te l'ai dit?» Puis, plus tard: «Nous l'avons perdue. Elle était parfaite.» Ce à quoi Christopher a répondu: «Chérie, je suis désolé! Comment ai-je pu faire ça? J'ai tué notre bébé, ça ne peut pas être réel.»
Les deux autres filles du couple, âgées de 9 et 5 ans, ont livré un témoignage accablant. Elles ont en effet confié à la police que leur père les laissait régulièrement dans sa voiture et que cette fois-ci il avait été «distrait par ses jeux vidéo» pendant que Parker agonisait dans le véhicule. La police a saisi la PlayStation de Christopher et d'autres appareils électroniques. Vendredi, le trentenaire a été arrêté et inculpé d'homicide involontaire et de maltraitance infantile.
Lundi, la mère de Parker a demandé au juge de revenir sur sa décision de garder Christopher en détention avant sa prochaine audience, prévue pour août. «Je vous demande simplement de l'autoriser à rentrer chez nous pour que nous puissions tous entamer le processus de deuil», a déclaré Erika, évoquant «une grosse erreur» et le besoin d'enterrer la petite fille en famille. «Je veux juste que les filles voient leur père pour que je n'aie pas à leur dire ce soir qu'elles vont subir une autre perte», a demandé l'anesthésiste. Le juge a accepté la requête de la mère de famille.
Une audience préliminaire a été fixée au 1er août.
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Tucson.com
Father arrested in daughter's hot-car death: 'I killed our baby'
In a text to his wife as their daughter was being taken to the hospital, Christopher Scholtes wrote, "“Babe, our family. How could I do this. I killed our baby,
01.07.2024 Bas-Rhin - France : Aurélien Kuntz, 33 ans,a été condamné à 7 ans de prison ce 1er juillet par la Cour criminelle départementale du Bas-Rhin pour le viol et l’agression sexuelle d’une adolescente de 16 ans à Hochfelden, près de Saverne, en juillet 2020.
Cet homme avait invité la victime, âgée de 16 ans à l’époque des faits, à boire de la vodka chez lui. La pensant ivre, il en avait profité pour abuser de la jeune fille, une amie de sa cousine.
Conformément aux réquisitions du parquet, Aurélien Kuntz a été déclaré coupable des faits reprochés et condamné à 7 ans d’emprisonnement, assortis d’un suivi sociojudiciaire pendant 3 ans.
Son nom a été inscrit au fichier des auteurs d’infractions sexuelles.
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www.dna.fr
Cour criminelle départementale du Bas-Rhin. Sept ans de prison pour le viol d’une adolescente à Hochfelden
Un homme, âgé de 33 ans, a été jugé lundi devant la Cour criminelle départementale du Bas-Rhin pour le viol et l’agression sexuelle d’une ...
01.07.2024 Val-d'Oise + Lot-et-Garonne - France : Un enseignant de 44 ans exerçant actuellement à Nérac ( Lot-et-Garonne) soupçonné de pédocrimes a été placé en détention provisoire le 28 juin à la prison de Fleury-Mérogis. Il est mis en examen pour viol, abus d’autorité, agression et corruption de mineur de moins de 15 ans et plus.
C’est au petit matin que la brigade de recherche de la gendarmerie du Lot-et-Garonne a interpellé cet enseignant de l’Albret à son domicile, mardi 25 juin. Il est soupçonné d’avoir commis des pédocrimes entre 2016 et 2018, lorsqu’il enseignait en région parisienne, dans le département du Val-d’Oise. Des anciens élèves l’auraient dénoncé. Aujourd’hui âgé de 44 ans, il enseigne dans un établissement du Néracais depuis quelques années.
Le quadragénaire a été dans un premier temps placé en garde à vue à Agen, avant que son audition par les enquêteurs soit délocalisée à Créteil, dans le Val-d’Oise, le département où se serait déroulée l’affaire. Selon nos informations, l’homme, mis en examen, aurait en partie reconnu les faits.
Le jeudi 27 juin, il a été mis en examen pour viol sur mineur de 15 ans, agression sexuelle par personne ayant une autorité sur mineur de 15 ans, et agression et corruption de mineur de 15 ans et plus. Un mandat de dépôt lui a été décerné dans la foulée. Il a été placé en détention provisoire au centre pénitentiaire de Fleury-Mérogis, le vendredi 28 juin. Pour l’heure, l’instruction se poursuit. La date d’un éventuel jugement n’est pas encore connue. D’autres éléments devraient permettre de faire la lumière sur cette affaire qui risque de secouer le Néracais.
Contacté, l’établissement scolaire où enseigne le mis en cause n’a pas souhaité nous répondre. La Direction des services départementaux de l’Éducation nationale (DSDEN) et le rectorat font savoir que l’affaire « est prise très au sérieux. Une enquête judiciaire est en cours et une procédure de suspension est lancée ».
Pour rappel, toute personne suspectée ou poursuivie est présumée innocente tant que sa culpabilité n’a pas été établie.
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LADEPECHE.fr
Un enseignant du Lot-et-Garonne en garde à vue pour des faits de pédophilie
Un enseignant de Nérac a été interpellé la semaine dernière. Il est soupçonné d’actes de pédophilie, des faits qui remontent à plusieurs années.
05.07.2024 Ille-et-Vilaine - France : Sa nièce, Karine, a été violentée et violée de ses 5 à 7 ans chez ses parents, près de Rennes, par un de leurs amis. Laurence Brunet-Jambu avait émis des signalements, en vain. Le téléfilm "Signalements" raconte son combat.
Karine Jambu a été violée de 2002 à 2005, par un ami de ses parents, hébergé à leur domicile, près de Rennes. En 2009, la fillette a confié à sa tante ce qu’elle a subi. En dépit de nombreux signalements (médecins, services sociaux, école…), l’enfant était restée vivre auprès d’eux.
En 2018, l’auteur des faits, pédocriminel récidiviste, a été condamné par la cour d’assises d’Ille- et-Vilaine à 30 ans de réclusion criminelle.
Vous avez raconté votre combat pour sauver votre nièce Karine, dans un livre. Comment avez-vous été associée à son adaptation télévisée par Éric Métayer, qui a déjà co-réalisé Les Chatouilles, autre film sur l’enfance violée ?
J’ai su, à l’été 2022, qu’Éric Métayer allait réaliser un film adapté de mon livre, écrit avec Karine et paru en 2019 (2). Il voulait montrer comment l’entourage d’une victime se bat pour elle. Je connaissais déjà la pièce de théâtre écrite avec Andréa Bescond, Les Chatouilles, devenue un film. Pour l’écriture du scénario de Signalements, Éric Métayer m’a souvent appelée. En tant qu’autrice du livre, je dirais que son adaptation s’est faite avec beaucoup d’égards. Le téléfilm devrait être diffusé sur France 2 le 20 novembre 2024, Journée internationale des droits de l’enfant. Avec une diffusion préalable dans un cinéma rennais, qui reste à préciser.
Vous avez assisté à une avant-première, à Vierzon (Cher), fin mai. Qu’en avez-vous pensé ?
Une heure et demie, c’est forcément un peu court, pour raconter des années de combat ! Et pourtant, le film réussit à montrer ce qu’il s’est passé. Les faits sont déplacés dans une autre ville. Nos professions, à mon mari et moi, sont différentes. Mais tout le combat est là. Éric Métayer fait le récit du cauchemar vécu par Karine, sans jamais montrer ni les coups ni les viols. C’est tout en suggestion et en pudeur. Le voir a été un moment de très grande émotion ! À la fin de la projection, le public s’est levé et nous avons reçu une ovation qui a duré dix minutes. C’était tellement extraordinaire !
Votre nièce a aussi vu le film, à vos côtés. Comment a-t-elle réagi ?
Elle était contente aussi, parce qu’il n’y a pas d’images crues. Ça lui aurait été difficile. Karine a impressionné le public. C’est une jeune femme de 26 ans, épanouie, maman d’une petite fille. Elle termine des études pour être auxiliaire de puéricultrice. Karine montre que tout est possible. Ce qui vous arrive ne vous définit pas toute votre vie. Elle considère, comme moi, que le film porte un joli message. Les enfants abîmés peuvent s’en sortir lorsqu’ils sont aimés.
Bruno Solo a signé la préface de votre livre. Il joue aussi dans le film. Quels liens entretenez-vous avec ce comédien, engagé dans la protection des enfants ?
Au moment du livre, je lui avais envoyé un mail, lui demandant d’en signer la préface. Nous nous sommes rencontrés à Paris. L’histoire l’a bouleversé. Dans le film, il joue le rôle d’un éducateur sûr de lui, qui incarne les dysfonctionnements de l’Aide sociale à l’enfance (ASE). Pour ce professionnel, le lien avec les parents compte davantage que la sécurité de l’enfant.
Vous êtes incarnée à l’écran par l’actrice Cécile Bois, connue principalement pour son rôle dans la série Candice Renoir. Vous êtes-vous retrouvée dans son interprétation ?
Karine et moi sommes allés rencontrer l’équipe, sur le tournage, à Lille, à l’automne 2023. Cécile Bois m’interrogeait pour connaître mon tempérament, mes réactions à tel ou tel moment. Dans le film, elle me ressemble, aux dires du public. C’est vrai que c’est frappant !
29.06.2024 La Réunion - France : Un homme relaxé jeudi 27 juin par le Tribunal de Saint-Pierre pour agression sexuelle incestueuse sur sa nièce de 11 ans
La justice n’aura pas cru l’enfant. Jeudi, face au tribunal de Saint-Pierre, Marcel*, la cinquantaine, a dû répondre de l’agression sexuelle incestueuse qui lui était reprochée. La victime ? Sa nièce de 11 ans, absente à l’audience et représentée par ses parents et leurs deux avocates.
Les faits remontent à mars dernier. Adrianna, 11 ans, passe quinze jours chez sa grand-mère pour les vacances. Une parenthèse dans un quotidien familial chamboulé. Ses parents se sont séparés un peu plus d’un an auparavant. Son père vit en métropole avec l’un de ses frères, tandis que les autres enfants et elle-même vivent auprès de leur mère à La Réunion. Une décision prise, selon les dires parentaux, par la fratrie. Depuis, Adrianna a le sommeil particulièrement agité et multiplie les cauchemars.
Un soir, la grand-mère d’Adrianna l’envoie chez son oncle avec ses quatre cousins pour passer la nuit. Le lendemain, la fillette dit avoir été touché sur le sexe par son oncle alors qu’elle dormait avec ses cousins dans le salon. L’enfant décrit des mains posées sur son bas du ventre et bas du dos, ainsi que sur ses parties intimes. “De haut en bas et de droite à gauche, pendant 10 à 15 minutes sous son short de pyjama, avec deux doigts”, lit la présidente d’audience. Une description précise que la victime a répété à plusieurs reprises aux nombreux psychologues, juges et proches parents.
A la barre, Marcel nie en bloc. Il reconnaît uniquement avoir posé ses mains sur le dos et le ventre de l’enfant pour la remettre droite, alors que celle-ci dormait sur ses cousins. Marcel n’a malheureusement pour lui, pas un passé qui lui soit favorable. Des soucis d’alcool importants et une séparation avec sa compagne, faute de relations sexuelles suffisantes, sont rappelés par le tribunal. “Vous étiez très en demande, plusieurs fois par jour. Vous ne la laissiez pas se reposer”, précise la présidente.
Le prévenu, calme, se défend toutefois d’avoir touché sa nièce. “J’étais une figure presque paternelle pour elle car son père lui manquait. Elle a fait un transfert, soumet-il au tribunal. En plus, la petite était au courant par sa mère que celle-ci avait, elle-aussi, subi de l’inceste par notre père. Ça cogitait beaucoup.” Pour lui, sa sœur et maman d’Adrianna ne lui aurait pas pardonné de n’avoir pris position face à leur père. Il crie donc au complot, tout comme lors de la séparation avec son ex-femme, également amie de sa soeur, qui avait cherché à lui retirer la garde de ses enfants.
“Je crois ma fille, ce n’est pas une menteuse”, argue à la barre le papa d’Adrianna, venu spécialement de l’Hexagone. Marcel ne l’accuse pas non plus d'en être une, mais simplement de “transformer des réalités”. Le procureur croit, lui aussi, l’enfant. “Sa version n’a jamais changé d’un hiatus. C’est précis et c’est toujours la même chose qu’elle raconte à tout le monde”, indique-t-il avant d’annoncer des réquisitions qu’il qualifie de “sévères”. Il demande 36 mois de prison dont 24 avec sursis pendant trois ans, ainsi que des soins psychologiques, contre l’alcoolisme, une obligation de travail, l’interdiction de contact avec Adrianna et ses parents, l’interdiction d’exercer auprès de mineurs pendant 10 ans, 140 heures de travaux d’intérêt général et l’inscription au fichier judiciaire automatisé des auteurs d'infractions sexuelles ou violentes (FIJAIS). Le tribunal, après avoir délibéré, relaxe finalement Marcel. Il écope toutefois d’une tout autre peine : celle de voir sa famille déchirée autour des dires d’une nièce qu’il appréciait tant et de l’inceste, qui s’inscrit définitivement dans leur histoire.
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Clicanoo | Premier de l'actualité à La Réunion et dans l'Océan Indien
Saint-Pierre : Un oncle relaxé pour agression sexuelle incestueuse
Saint-Pierre. L’homme était jugé jeudi par le tribunal saint-pierrois pour agression sexuelle incestueuse. Sa n...
01.07.2024 La Réunion - France : Jean-Maurice T., un septuagénaire accusé de viol sur sa petite-fille alors âgée de 8 ans se défend en accusant celle-ci d'avoir visionné des films pornographiques en espionnant ses parents. Après s'être confié à son entourage et que les enquêteurs aient trouvé sur son ordinateur des recherches sur les dépucelage d'enfants, Jean-Maurice T. s'est retracté et nie aujourd'hui les faits qui lui sont reprochés et qui le mènent vers un procès criminel en décembre prochain. En attendant, il reste en détention provisoire.
Ce mardi, devant les magistrats de la chambre l’instruction, Jean-Maurice T. a raconté que sa petite fille espionnait ses parents pendant qu’ils visionnaient des films pornographiques. Pour le grand-père, la fillette âgée de sept ans regardait ces scènes par le trou de la serrure. Il précise qu’elle avait ainsi développé une addiction à ce genre de programme ainsi que des comportements de séduction à son égard et des attentions malveillantes. Le septuagénaire incarcéré depuis décembre 2022 poursuit son monologue en indiquant qu’il avait alors tenté de faire preuve d’autorité mais qu’il avait été menacé par la petite.
Jean-Maurice T. est cependant incapable d’expliquer pourquoi, dans un premier temps, il a reconnu les faits qui lui sont reprochés en se confiant à son entourage, avant de se rétracter et charger la fillette. L’homme qui a le visage aussi froissé que son polo bleu ciel comparait dans le cadre d’une prolongation de sa détention provisoire requise par le parquet général avant son jugement devant la cour criminelle les 9 et 10 décembre prochains.
Les faits criminels qu’il aurait commis se seraient produits entre janvier 2020 et fin 2021, puis en 2022. C’est à une question innocente de ses parents que la victime aurait fait part de « certaines choses » que lui infligeait régulièrement son grand-père paternel. La fillette aurait d’ailleurs présenté un changement important de comportement après avoir révélé avoir subi des fellations et des pénétrations digitales ainsi que des atteintes sexuelles.
Au cours de l’enquête, les gendarmes chargés des investigations ont découvert que le mis en cause avait effectué des recherches sur son ordinateur concernant le dépucelage d’enfant. Mais également au sujet des peines encourues par les agresseurs sexuels. Le grand-père, né en 1957, présente un casier judiciaire vierge et aucune pathologie mentale. Il aurait agi « dans un contexte plus incestueux que pédophile » selon les résultats des expertises psychiatriques et psychologiques.
Le parquet général s’est opposé à un éventuel placement sous contrôle judiciaire plaidé par l’avocat de l’intéressé. La représentante de la société a fait valoir une atmosphère « de l’ordre du conflit de loyauté au sein de la famille ». L’épouse de l’accusé, sous emprise, lui apporterait son soutien. « Il faut éviter les risques de pression sur la victime tout comme la réitération des faits par un homme qui nie ce qu’on lui reproche », a averti l’avocate générale, proposant aux magistrats de la rue Juliette Dodu de prolonger la période de détention provisoire jusqu’au procès.
La cour a décidé de suivre ses recommandations et de prolonger sa période de détention provisoire.
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Zinfos974
Agression sexuelle : Le grand-père incestueux fait des recherches avant de passer à l'acte
Un septuagénaire accusé de viol sur sa petite-fille alors âgée de 8 ans se défend en accusant celle-ci d'avoir visionné des films pornographiques en espionnant ses parents. Après s'être confié à son entourage, il s'est retracté et nie aujourd'hui les faits…
"Il se masturbe plusieurs minutes et éjacule sur la culotte de sa fille, placée au centre du pentagramme. Il veut violer sa fille et la donner en offrande à Satan" Ce qui figure, NOTAMMENT, sur la centaine de vidéos trouvées par les enquêteurs où un père…
TVA Nouvelles
Rituels sataniques et fantasmes de viol sur sa propre fille: «Je suis devenue un cadavre vivant», raconte la victime
Quelques mois à peine après avoir trouvé d’effroyables vidéos de son propre père en plein rituel satanique de masturbation, décrivant ses fantasmes de viol sur elle-même, une adolescente a témoigné avec courage au tribunal, confrontant son «géniteur».
24.04.2024 Londres - Angleterre : Robert Prussak, 56 ans, sans domicile fixe, a été interpellé à Londres ce lundi 22 avril pour avoir kidnappé, drogué et agressé sexuellement une fillette de 9 ans. Il sera jugé en mai, ont annoncé les autorités locales. Prussak…
MSN
Procès pour atteinte sexuelle sur une ado de 14 ans: “ce n’est pas moi qui l’ai draguée”, se défend un prévenu de 47 ans
Ce jeudi 25 avril, six mois de prison ferme ont été requis contre dix des onze prévenus jugés à Valenciennes (Nord) pour des relations sexuelles avec une adolescente de 14 ans rencontrée sur Snapchat ou coco.fr.
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