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Pourquoi ?
Laissez les pourquoi et les comment curieux ; à cet égard, jamais vous n’aurez le dernier mot ! Mais sachez les pourquoi et les comment utiles : pourquoi est on sur la terre ? Comment va-t-on au Ciel ?
Père de Pontlevoy, in Histoire d’une famille, ch. XI p. 244
La vérité
Et en effet, Chrétiens, Jésus-Christ, qui est la vérité même, n’aime pas moins la Vérité que son propre corps ; au contraire, c’est pour sceller de son propre sang la vérité de sa parole, qu’il a bien voulu sacrifier son propre corps. Un temps il a souffert que son corps fût infirme et mortel, et c’est volontairement qu’il l’a exposé à tant d’outrages : il a voulu, au contraire, que sa vérité fût toujours immortelle et inviolable. Par conséquent, il ne faut pas croire qu’il se sente moins outragé quand on écoute sa vérité avec peu d’attention que quand on manie son corps avec peu de soin. Tremblons donc, Chrétiens, tremblons quand nous laissons tomber à terre la parole de vérité que l’on nous annonce ; et comme il n’y a que nos cœurs qui soient capables de la recevoir, ouvrons-lui-en toute l’étendue, et écoutons attentivement Jésus-Christ qui parle : Ipsum audite.
Bossuet, IIe Sermon pour le IIe dimanche de carême, Œuvres complètes, t.8 p.299, (J.B. Pélagaud, 1863)
Grâce à Dieu
Notre esprit peut-il penser, dit saint Augustin, notre bouche peut-elle proférer, notre plume peut-elle écrire quelque chose de meilleur que ces paroles : Grâce à Dieu ? On ne peut ni rien dire de plus court, ni rien entendre de plus agréable, ni rien concevoir de plus élevé, ni rien faire de plus utile. Dieu lui-même a toujours pris tant de plaisir à la reconnaissance et aux actions de grâces des hommes, que, dès qu’il avait fait quelque faveur extraordinaire à son peuple, il voulait qu’on lui chantât aussitôt un cantique de louange : Immolez à Dieu un sacrifice de louange.
R. P. Alphonse Rodriguez, Pratique de la perfection chrétienne, t. 3, part. II traité VII ch. VI p. 332 (Louis Vivès, éditeur 1875)
Dieu dans nos âmes
Lorsque nous aurons surmonté nos passions, détruit en nous toute affection naturelle désordonnée et vidé notre esprit de toute préoccupation inutile au salut, alors le Saint-Esprit, trouvant notre âme dans le repos et communiquant à notre intelligence une puissance nouvelle, mettra la lumière dans nos cœurs comme on allume une lampe pourvue déjà de mèche et d’huile [...] Donc, avant toutes choses, disposons nos âmes à la réception de la lumière divine, et rendons-nous de la sorte dignes des dons de Dieu.
S. Éphrem, De virtute, c.10
La sanctification
La sanctification de notre âme se trouve dans une union chaque jour plus intime avec Dieu, union de foi, de confiance et d’amour. Dès lors, un des plus grands moyens de sanctification est l’acte le plus élevé de la vertu de religion et du culte chrétien : la participation au sacrifice de la Messe.
Reginald Garrigou-Lagrange, O.P., Les trois âges de la vie intérieure, t. I, 2ᵉ partie, ch. 14, p. 445 (QMé, 2022)
Jurer
Considérons enfin les autres avertissements que nous donne l’Écriture : ne pas jurer facilement (Si 23,9), car il survient souvent bien des circonstances qui nous empêchent d’accomplir nos Serments. Qui ne jure pas, ne se parjure pas, à coup sûr ; mais celui qui jure en vient nécessairement à se parjurer quelques fois ; car « tout homme est menteur » (Ps 115,11). Alors ne jure pas, pour n’en pas venir au parjure.
S. Ambroise, Écrits sur la virginité, Exhortation à la virginité, p. 314 (Solesmes, 1980)
La sainte Eucharistie
Oh ! mystère de la divine et infinie miséricorde ! Oh ! signe et sceau efficace de l’unité ! Oh ! lien de la charité, symbole de paix et de concorde ! Une seule et même victime à adorer sur tous les autels ; une seule et même nourriture divine servie partout à la Sainte Table ; et tous sans distinction de races ou de nationalités, de conditions et classes sociales, tous également invités à croire, à adorer et à communier, pour que tous soient également participants de son corps et de son sang, tous élevés à la même noblesse souveraine, divine consortes nature ; afin que tous se sentent plus que frères, membres du même Corps mystique du Christ, s’aimant les uns les autres affectivement et effectivement, comme si c'était le Christ lui-même.
Et s’il y a des obstacles à vaincre, des intérêts opposés, des antagonismes, des passions qui engendrent la désunion, l’amour de Jésus Eucharistie et la grâce toute-puissante qui en provient « pour qui la reçoit non seulement matériellement, remarque S. Augustin, mais spirituellement et fructueusement » saura enfin surmonter, dénouer et vaincre les difficultés et cimenter la paix et la concorde.
C’est pourquoi, Jésus, amour eucharistique, n’hésite pas, dès ce monde in maligno positus, à proposer aux siens comme idéal de l’amour de Dieu et du prochain qui les doit unir, l’unité de la bienheureuse Trinité ! C’est qu’Il a voulu, en instituant la divine Eucharistie, faire de notre terre sur laquelle pèse la malédiction du péché, plus qu’une image du ciel, un paradis anticipé !
Les premiers fidèles le comprenaient admirablement, qui toujours dans la célébration du Saint Sacrifice recevaient l’Eucharistie : c’est pourquoi ils s’aimaient et s’aidaient mutuellement, au point de mettre leurs biens en commun, comme membres de la même famille et plus encore comme étant « un seul cœur et une seule âme » dit l’historien inspiré. C’est pourquoi ils priaient en rendant grâces comme les grains de blé, de dispersés qu’ils étaient sur les monts, s’unissent et ne forment plus qu’un seul pain, qu’ainsi se réunisse des extrémités de la terre, ô Seigneur, votre Église dans votre royaume ». C’est pourquoi encore, le signe le plus sûr et le plus ferme de la charité chrétienne, c’était l’Eucharistie qu’on envoyait aux absents, et que les diverses communautés s’envoyaient mutuellement.
Pie XII, R.M. au 6ᵉ Congrès eucharistique national du Brésil, 15 août 1953
L’objet de notre jouissance est la Sainte Trinité
Donc les choses faites pour la jouissance sont le Père, le Fils et le Saint-Esprit, Trinité identique à elle-même, unique et souveraine Réalité. Bien commun de tous ceux qui en jouissent.
Est-elle toutefois une chose ? N’est-elle pas plutôt la cause de toutes les choses ? si tant est que ce terme même de « cause »puisse la désigner. Car il n’est pas facile de trouver un nom qui convienne à une Réalité si pleinement éminente, à moins pourtant de la définir ainsi. Cette Trinité est un seul Dieu de qui tout procède, par qui et en qui tout existe (Rom. XI, 36). Ainsi le Père et le Fils et le Saint-Esprit sont, chacun pris à part, Dieu ; et pris tous ensemble, un seul Dieu. Chacun d’eux a la plénitude de la substance divine et, tous ensemble, une seule et même substance. Le Père n’est ni le Fils ni le Saint-Esprit ; le Fils n’est ni le Père ni le Saint-Esprit ; le Saint-Esprit n’est ni le Père ni le Fils. Mais le Père est seulement le Père, le Fils est seulement le Fils, le Saint-Esprit est seulement le Saint-Esprit. À tous les trois appartiennent la même éternité, la même immutabilité, la même majesté, la même puissance. Dans le Père est l’unité, dans le Fils, l’égalité, dans le Saint-Esprit, l’harmonie entre l’unité et l’égalité, et ces attributs sont tous trois uns, à cause du Père, égaux à cause du Fils, harmonieusement unis entre eux, à cause du Saint-Esprit.
S. Augustin, Le magistère chrétien, Doctrine chrétienne, Liv. 1, ch. VI, p. 187 (Desclée, 1949)
L’admiration ou contemplation
Sans en tant rechercher les causes, le Saint-Esprit veut nous faire entendre une excellente manière d’honorer les mystères : c’est, à la vue des bontés et des merveilles de Dieu, de demeurer devant lui en grande admiration et en grand silence. Dans ce genre d’oraison, il ne s’agit pas de produire beaucoup de pensées, ni de faire beaucoup d’efforts : on est devant Dieu ; on s’étonne des grâces qu’il nous fait ; on dit cent fois, sans dire mot, avec David : Quid est homo ? « Qu’est-ce que l’homme, que vous » daigniez « vous en souvenir (Ps. VIII. 5.) ? » Encore un coup : qu’est-ce que l’homme, que vous, vous qui êtes le Seigneur admirable par toute la terre, vouliez y penser ? Et on s’abîme dans l’étonnement et dans la reconnaissance, sans songer à vouloir produire, ni au-dedans, ni au-dehors, la moindre parole, tant que dure cette bienheureuse et très-simple disposition.
Il y a dans l’admiration une ignorance soumise, qui, contente de ce qu’on lui montre des grandeurs de Dieu, ne demande pas d’en savoir davantage, et, perdue dans l’incompréhensibilité des mystères, les regarde avec un saisissement intérieur, également disposée à voir et à ne voir pas ; à voir plus ou moins, selon qu’il plaira à Dieu. Cette admiration est un amour. Le premier effet de l’amour, c'est de faire admirer ce qu’on aime, de le faire toujours regarder avec complaisance, d’y rappeler les yeux, de ne vouloir point le perdre de vue. Cette manière d’honorer Dieu est marquée dans les saints dès les premiers temps ; elle est répétée plusieurs fois dans saint Clément d’Alexandrie. Mais quoi ! elle est de David, lorsqu’il dit : Quam admirabile! quid est homo ? quam magna multitudo dulcedinis tuæ, Domine !« Que votre nom est admirable ! qu’est-ce que l’homme ? que vos douceurs sont grandes et innombrables ! » C’est le cantique de tous les saints dans l’Apocalypse : « Qui ne vous craindra, Seigneur ? Qui n’exaltera votre nom ? car vous êtes le seul Saint. » On se tait alors, parce qu’on ne sait comment exprimer sa tendresse, son respect, sa joie, ni enfin ce qu’on sent de Dieu ; et c’est « dans le ciel le silence d’environ une demi-heure : » silence admirable, et qui ne peut durer longtemps dans cette vie turbulente et tumultueuse.
Bossuet, Œuvres complètes, t. 3, Élévations sur les mystères, XVIIIe semaine, XIe Élévation, p.125 (J.B. Pélagaud, 1862)
L’amour de Jésus-Christ
La bouche de ceux qui proféraient l’iniquité a été fermée. Maintenant, ô homme, on voit avec une lumière plus brillante que la lumière du jour, combien le Très-Haut a dépensé pour toi. Il n’a pas dédaigné de Seigneur se faire esclave, de riche devenir pauvre, de Verbe être chair, de Fils de Dieu être appelé Fils de l’homme. Souviens-toi que si tu as été fait de rien, tu n’as pas été racheté de rien. Le Seigneur a créé l’univers en six jours, et toi avec l’univers. Mais, pour accomplir notre salut, il lui a fallu trente années entières de séjour sur cette terre. Oh ! comme il s’est fatigué en supportant les besoins de la chair, les tentations de l’ennemi des hommes ! N’a-t-il pas aggravé tout cela par l’ignominie de la Croix ? N’a-t-il pas mis le comble à tout par l’horreur de sa mort ? O bon Jésus ! sur toute chose, le calice que vous avez bu, ce calice, l’œuvre même de notre rédemption, vous rend aimable à mon cœur.
S. Bernard, Serm. 20 sup. cant.
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