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Un soir de juillet
Souvent le triste soir vient frapper ma fenêtre,
La fatigue me prend mais l'espoir veut renaître ;
Dans ses bras de velours m'appelle le sommeil,
Promettant un doux songe, érubescent, vermeil,
Mais ma muse éplorée me veut plus magnanime,
Et de sa voix feutrée vient m'enjoindre à la rime :
Un ouvrage trop neuf elle me fait ouvrir,
Pour écrire il faut bien de beaux vers se nourrir ;
Je lis, je vagabonde, et je parcours ces phrases,
Qui soignent l'hémistiche et traquent les emphases.
Le silence soudain : mon peuple crie « je meurs » ;
Mon encre alors s'écoule et s'écrie « haut les cœurs ! »
~ Alexandre Charpentier
J'abhorre les saltimbanques hédonistes qui, se vantant d'être des « poètes », traitent uniquement de sujets superficiels ou malsains, dont les esprits sains se fichent éperdument. Pis encore, ils ont en aversion toute règle, même la plus minime, comme si la convention tuait la création — ça se saurait — et qui, non contents d'être subventionnés par ces entremêlements d'associations gauchistes, pensent de l'art des vers, et plus généralement de la littérature, être les seuls et uniques détenteurs.
Alors même que ces derniers clament que la langue est définie par ceux qui l'utilisent et non par les académiciens — pour justifier leurs immondices d'écrivains (écrits vains) médiocres — ils s'embourgeoisent comme les rats de bibliothèque qu'ils prétendent dénoncer. Le tout en refusant d'entendre parler de ceux qui tentent de souffler le vent de la tradition poétique, bien que ces derniers n'aient point l'outrecuidance de se prétendre être les meilleurs. En effet, il faut toute une vie pour parfaire son art, et ce dernier aurait encore besoin de nombreuses retouches, même après des dizaines d'années à aiguiser sa plume au contact répété du papier, ou à verser maladroitement de l'encre sur une feuille qu'il aurait été plus judicieux parfois de laisser immaculée.
Ainsi, de nos jours, la poésie peut être source de raillerie. Pourquoi ? Car ces sous-hommes gauchistes ont perverti cet art des plus nobles. Qui veut écrire ou lire de la poésie quand cette dernière n'est qu'onanisme intellectuel, entre-soi, déracinement, fantaisie sans profondeur, libertinage, rejet de toute morale ? Voyez donc les absurdités innombrables qui hantent les rayons jadis si beaux de nos librairies. Le gauchiste est un alchimiste qui transforme l'or en plomb. Il refuse de s'élever, alors il tente de faire sombrer les autres, afin de les abaisser à son niveau, tout bouffi d'un orgueil démesuré.
Les âmes de bonne volonté, quant à elles, souhaitent lire des vers qui, en plus d'être agencés un tant soi peu convenablement, leur parlent de Dieu, de la Vérité, de la Beauté, du rêve, de l'espoir, de leur sang, de leur pays, de leurs ancêtres, de leur avenir, de leurs peines et de leurs aspirations.
Je souhaite — de tout cœur — écrire pour ces âmes. Il est urgent sinon vital de redonner ses lettres de noblesse à cet art tant dévoyé.
~ Alexandre Charpentier
Table des matières (page 2)
Flambeaux de France
Prière à l'ange gardien
Matisse
Sainte Jeanne d'Arc
Direction Paris
Jour de pluie
La Caryatide
Chute libre
Dansait la nymphe
Le printemps et nous
Feu de solstice
Vers l'avenir
Les deux malfrats
Inspiré d'une prière ancienne à Saint Louis
Le poème en mouvement
Inspiré du chant "La Gueuse"
Le bandit
For Europe
La Belle Dame sans Merci
Poème inspiré de la poésie anglaise de J.R.R. Tolkien - La Geste de Beren et Lúthien la fée appelée Tinúviel le Rossignol, ou le lai de Leithian.
Dansait la nymphe
Dans les jardins vieux et anciens,
Ils murmuraient en magiciens,
Les hauts bouleaux en robe blanche,
Aux pieds moussus, aux douces branches.
Dansait la nymphe... et les phalènes
Aux ailes bleues, vêtues de laine,
Allaient près d'elle, en bruissant, frêles,
Jusqu'aux ruisseaux qu'elle ensorcelle.
Sur des tapis de gris lichen,
Posant ses pieds de porcelaine,
La fée valsait, ombre lilas
Au fond des vals et au-delà.
Le clair de lune envoûtait l'air,
Et ses cheveux, l'astre polaire,
Quand elle tournait sous l'arceau,
Le dai des cieux, tel un oiseau.
Montait la brume en mousseline,
Depuis la terre et les racines...
Le rossignol, avant le jour,
Pleure et s'endort, ode d'amour.
Dansait la nymphe aux mains fragiles,
Le pas léger, le pied agile,
Sous le feuillage ample et frisé,
Avant l'aurore et l'eau rosée.
~ Hilda Lefort
Poème écrit par l'un de nos lecteurs.
Chute libre
Suivant les conseils de faux prophètes et de bergers malicieux,
Voici que sont tombés, errants, dans la fosse d'un Eros fallacieux,
Nombre de dames et de messieurs...
Tous s'y élancent,
Quelles que soient les provenances,
À la recherche d'une danse, d'une chance,
D'un ailleurs ou le présent n'a ni cause première ni conséquences...
C'est le spectacle d'une chute brutale - adoucie par le rêve d'une ascension -
L'homme s'est jeté du temple au temps crucial des tentations.
D'aucuns prétendent qu'il y aurait été précipité
- Par une force étrangère, une fatalité -
Quand l'homme, enflé d'orgueil et de vanité,
En revendique pourtant fièrement l'hérédité :
« Ô Chute chérie !
Quoi que tu t'avères être,
Tu resteras mon maître,
Mon idole, mon égérie !
Comme le souffle haletant d'un brigand après son crime,
Tes caresses parcourent ma peau de la plante jusqu'à la cime,
Y impriment le poème de notre alliance
Dont les mots, si joliment maniés, me font perdre toute méfiance.
Et si le coût de nos fiançailles est de perdre l'âme,
Ô chute chérie, pour toi, je brandirais tout de même la lame ! »
Cette légion d'âmes atomisées est armée d'un idéal,
La cité future : l'homme définitif aux reflets d'aurore boréale...
Vois : si ma liberté s'arrête à la tienne,
Comme est grande l'envie de te l'éteindre,
De me jeter dans l'arène,
Pour annihiler ses restes en feintant de l'étreindre !
Alors je brillerai tant que je porterai la lumière jusqu'aux tréfonds de l'univers,
On chantera mes exploits en été comme en hiver pour me pousser à le refaire...
Et, m'y afférant,
Je le referai, fût-ce aberrant !
Comme le piège est sournois !
Comme la chute est longue !
Dieu merci le Ciel nous pourvoit,
Jusque sur le bout de la langue,
De l'épée ultime
Pour défendre le bien suprême,
En toutes choses, en tout temps, quoi qu'épaisse soit la brume,
Et profond l'étang dans lequel on entend nous plonger
Si par malheur l'on s'attarde à s'y pencher...
~ Thomas-Herménégilde
La Caryatide
Pendant que la rosée mouille l'herbe timide,
Sur le front de l'enfant, posant sa main candide,
La mère, d'un baiser, éveille son petit,
S'agenouille avec lui, priant au pied du lit,
Et le petit bonhomme, un homme en devenir,
A de l'humilité un premier souvenir.
Tandis qu'il se prépare, et dans son sac à dos,
Dispose ses cahiers, le vert puis l'indigo,
Sa mère fait pour lui son repas le premier,
Afin que dans le bien s'amorce sa journée.
L'enfant dont les deux pieds ne touchent pas le sol,
Sur sa chaise finit et son verre et son bol.
Il s'habille tandis qu'elle ajuste son haut,
Il enfile son sac, ses souliers les plus beaux,
Sa mère prend sa main et son fils la saisit,
Ils s'en vont vers l'école, elle est tout près d'ici.
Ils arrivent tous deux, et puis l'enfant accourt,
En voyant ses amis patienter dans la cour ;
Et sa mère attend là, le mirant au lointain,
Il rentre en classe alors, d'un signe de la main,
Sa mère le salue, lui disant : « à ce soir »,
Caryatide guidée par l'amour et l'espoir.
~ Alexandre Charpentier
Poème écrit par l'une de nos lectrices
Émile
Ta maman ne s’était pas encor recueillie
Sur ta sainte dépouille, que les vils impies
Avaient pourtant propagé leur funeste fiel
Avant même que ton âme ne soit au Ciel.
Durant neuf mois, nous avons prié maintes fois
Pour savoir ce qu’il était advenu de toi
Le saint jour où Notre Seigneur ressuscita
Nous était annoncé ton macabre trépas.
Là-haut, tu es désormais bienheureux élu
Intercédant pour porter les tiens abattus
Tes parents, ta sœur et tous les autres Français
Qui n’oublieront jamais le Soleil que tu es.
A toi petit, soit donnée l’éternelle Paix
Qu’un jour, auprès de Dieu, et très loin des mauvais
Se retrouve, dans la Joie, le peuple des Justes
Ici, rendons honneur à ta mémoire auguste.
~ Marthe L.
✨ Chers amis, chers camarades, chers lecteurs,
Nous avons ouvert un espace de commentaires afin de bénéficier de toute discussion utile sur notre production poétique.
Nous avons l'audace de croire que notre production poétique participe, dans son ordre propre, à la Révolution Nationale qui commence par la Révolution des âmes et leur embrasement au feu de la foi, jeune, éternelle et invincible.
Il doit renaître le temps des héros et des saints, des soldats et du sacrifice, du dévouement à la nation, du rêve et de l'esprit, du romantisme exaltant, aux passions ardentes, mesurées, maîtrisées, ennoblies, sublimées par la force de l'esprit et de la volonté.
**Aussi, nous lançons aujourd'hui un appel. S'il est des plumes, des jeunes âmes éprises de poésie, qu'elles nous rejoignent, quand bien même elles n'auraient pas encore confiance dans la valeur de leurs vers et de leurs essais. Nous souhaitons que de nouvelles signatures parachèvent les poèmes que nous lançons vers les étoiles.
Pour cela, vous pouvez nous contacter par mail :
✉️ [email protected] ou
✉️ [email protected] Ou directement sur Telegram : @AlexandreCharpentier En avant la victoire !
✋?**
Table des matières
L'eau du combat
Héritage
Rue insipide
Invocation au fils de Herstal
Vers les étoiles
Nos vingt ans
Rue nocturne
La gloire des défaites
Ils sont partis
Balade en forêt
Le voyageur
Te souviens-tu ami, mon amour, oh mon peuple ?
Naufrage
À Blanche-Rose
Phaéthon
Stefan cel Mare (Étienne le Grand)
Atmosphère d'antan
Terre romaine de France - Poème pour la Provence
Ascension
Aux héros oubliés
Le prince Hector
Sursaut
Hercule
Zeus, Jupiter, Thor, ou Taranis
L'orage
« Sous la nuit claire, l'arme au bras... »
Les Suppliantes
Tambourin gaulois
Les Sept contre Thèbes
Le siècle du mépris
Les Perses
Lola, fille d'Europe
Les guerriers de Ronceveaux
Révolte
Ultime assaut
Procession sur les ruines
Ne craignez pas
La Colombe
Réveil hivernal
Le loup
Le rêveur
La lune
Le soleil
Sainte Jeanne d'Arc
Les Bogatyrs
Athéna plaide pour Ulysse
SOL INVICTVS
Le drapeau
Fleurs du couchant
À l'époux
Les Caryatides
Conception positive de la vie comme lutte
Le vieil arbre
À propos de la Beauté
Le Fils
Le flambeau
Demeurer français
Le Soleil invaincu
Les garçons
L'océan de bitume
Les arbres qui marchent
Héritiers de Lucien Lacour
Nos vaisseaux
Jeunesse française
L'Ordre nouveau
Sous les cieux étoilés
Le sang
Les prétendants
La ville triste
La France éternelle
Les jeunes militants
Notre éternelle France
De l'intention poétique
Les héros de 14
Palestine
Stances réflexives
À nos camarades espagnols
À nos camarades en prison
À l'épouse
Au pied des remparts
Joyeux et saint Noël
Orphée à Eurydice
Les mages
Rejoins-nous
Prière à la Très Sainte Vierge
À l'ennemi
Journal de France
Réécriture d'Antigone
Conquérir et sacrifier
La répression
Viendra-t-il ?
Les fleurs de France
Tableaux d'Europe
Ce que nous sommes
Le voilier des amants
Fille du peuple
Pour ton pays
Émile
Le jour s'est levé depuis peu, Créon apparaît au seuil de son palais et s'adresse à son peuple. CRÉON : Thébains, la guerre affreuse a frappé à nos portes, Il fallut repousser de bien viles cohortes, Mais par l'aide des dieux, des soldats la bravoure, Aujourd'hui…
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