Un mouvement anti guerre d'une ampleur inédite a pris forme aux USA.

D'innombrables universités sont entrées en protestation contre la guerre à Gaza.

Le gouvernement américain commence à s'inquiéter de la force de ce mouvement, et tout comme ailleurs, il ne connait qu'une seule réponse, la violence d'État. La police est entrée dans les universités, et les nombreuses images qui circulent démontrent la violence utilisée, ainsi que les nombreuses arrestations censées stopper l'élan de la jeunesse.
Mais celle-ci ne compte pas s'arrêter, et à chaque évacuation, le nombre de manifestants augmente. Des professeurs ont rejoint les rassemblements, notamment à l'université de Columbia.
La jeunesse ne veut pas de leurs guerres, et ne veut plus pleurer les morts qu'elles causent.

Faisant écho à cette occupation sur les campus, Sciences PO Paris a installé des tentes dans l'école, en réponse aux nombreux campements aux USA.

Édit: après avoir été évacués violemment ils ont persisté et occupent toujours sciences Po ce vendredi.

Sciences PO ouvre la voie.
Extrait du livre de Urgence Palestine ce soir.

Université #Emory à Atlanta.
Échec d'une politique répressive en 19 secondes, sous les yeux du monde.

Cette dame, professeur de philosophie et présidente de son département, a été interpellée lors de l'occupation du campus par les étudiant•es.
Le mouvement pour la paix et le cessez-le-feu à Gaza de la jeunesse étudiante dans les facs américaines, a pris une ampleur inédite depuis quelques jours, et la répression du gouvernement est extrêmement violente.

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Cette enquête de 160 pages ne dit… rien. On apprend que dans une réunion du "gauchisme" international s’opposant aux frontières, la journaliste n’est pas à l’aise. Les gens ont un « style punk », elle n’arrive pas à se fondre dans la masse. Autre info d’importance : elle n’arrive pas à finir son assiette à prix libre et une personne dit à une autre d’essayer de respecter le genre des personnes.

Rien sur la libération de personnes enfermées dans des centres de rétention ? Sur le sabotage des grilles du port de Calais ? Pas de projet de se rendre à Lampedusa ? Même pas le projet de taguer une ou deux caméras de surveillance ? En gros, Pauline a infiltré une réunion publique pour décrire vaguement des styles vestimentaires, faire la tête dans son coin et faire une critique gastronomique ! Bien joué.

On passera sur les commentaires bas du front sur les féministes ou les opposants à l’A69.

Le gros du morceau est l’infiltration d’Urgence Palestine qui serait noyauté par l’islam radical. En gros, la meuf a vu un arabe avec une longue barbe et elle a paniqué. Racisme de bas étage.

Dans ce dossier, vous apprendrez notamment que : les militants de la cause palestinienne militent… (tenez-vous bien) pour la cause palestinienne, et que EN PLUS, ils critiquent et s’opposent à l’État sioniste et colonisateur. ON TRANSPIRE TELLEMENT ON NE S’Y ATTENDAIT PAS !!

Vous apprendrez ce qu’est le sionisme de gauche et que la France Insoumise, bien que présente, a parfois du mal à se faire écouter. Mais aussi que les gens au sein de ce groupe ne sont pas à 100 % d’accord et discutent de leurs désaccords dans le but de faire évoluer les positions. Mais aussi que l’Etat engage des moyens importants (notamment l’anti-terrorisme) pour réprimer le soutien à la cause palestinienne.

En d’autres termes, cette Pauline-Beluga est tout à fait insignifiante. L'enquête fait l’effet d’un pétard mouillé parce justement, il n'y a rien à dire de spécial sur Urgence Palestine, ou sur les autres groupes infiltrés. Nous n’avons jamais eu besoin de cette journaliste pour savoir que la nourriture collective n'est pas celle d'un restaurant bistronomique, ou que Urgence Palestine lutte pour la Palestine (c’est écrit dans le nom en fait!). Cette enquête de plusieurs mois est surtout un vide intersidéral qui prétend sortir des bangers.

Seule explication possible : Livre Noir, dans sa logique de faire monter le racisme, et notamment l'islamophobie, a dépensé beaucoup d'argent en acceptant de payer cette Pauline pour une "infiltration de plusieurs mois". Ils espéraient sortir d'énormes scoops pour discréditer les islamo/écolos/féminos/gauchos.. 

Mais, face à l'insignifiance des révélations de cette pseudo journaliste, Livre Noir a préféré publier l'enquête et espérer que les titres faussement accrocheurs, et l'ambiance délétère du pays, permettrait de leur offrir une audience suffisante. 

On attend avec impatience la prochaine enquête de Livre Noir : "En immersion dans le black bloc. Nous avons découvert que ce mouvement combat le capitalisme et prône l'anonymat et la solidarité dans les manifs"

https://t.me/cerveauxnondisponibles

LIVRE NOIR – LE SYNDROME DE LA PAGE BLANCHE.

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Le journal d’extrême droite « Livre Noir » vient donc de sortir, avec une énorme promo, un numéro spécial « infiltration au cœur de l’extrême gauche » / « Féministes et islamistes, le retour des collabos ».

Pauline de Livre noir a infiltré, pendant plusieurs mois, le collectif Urgence Palestine mais aussi des réunions des Soulèvements de la Terre, des collectifs contre les centres de rétention, ou encore des groupes féministes.
Sur le site on peut lire : "Certains groupes pro-Palestine violents sont clairement infiltrés par des islamistes et des antisémites et appellent clairement, voire préparent des actions violentes".

Nous allions enfin savoir ce qui se passe dans cette nébuleuse d'islamo-gauchistes, d'éco-terroristes, de wokes et d'anti-flics. Celles et ceux qui pervertissent la société.

Amateur de SCOOPS vous allez être DÉÇUS.

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LE VIOL ORGANISE PAR L’ETAT RWANDAIS

Attention, les propos tenus dans ce texte peuvent choquer par leur violence ou réveiller des traumatismes, à la hauteur des horreurs perpétrées au Rwanda en 1994.
Pour certaines personnes, il peut être préférable d’arrêter la lecture ici.

En 1994, des escadrons de la mort Hutus, armés de machettes et de bâtons surmontés de clous, brûlaient, tuaient et pillaient dans tout le pays.
Des barrages installés sur les routes piégeaient les Tutsis en fuite, qui se faisaient alors massacrer.

Pendant la troisième semaine d’avril, alors que le génocide atteignait son summum, des dizaines de milliers de cadavres pourrissaient dans les rues de Kigali, la capitale.
En même temps que l’extermination des trois quarts de la population Tutsie au Rwanda s’est déroulée une autre horreur: 250 000 femmes ont été violées, mutilées, dans le but d’empêcher toute reproduction Tutsie.

Ces violences sexuelles de masse ont été organisées au niveau gouvernemental, par la ministre de la « Famille et de la Promotion féminine » de l’époque.
Cette femme est Pauline Nyiramasuhuko.
Lors des cent jours de génocide, elle a encouragé les soldats de la mort à violer les femmes Tutsies avant de les tuer.
À les mutiler avec des armes dans le but de détruire leurs organes de reproduction et d’allaitement. Certaines étaient capturées et réduites en esclavage sexuel, jusque dans les préfectures où cette pratique était organisée.
Des violeurs porteurs du VIH violaient consciencieusement pour transmettre le virus.

Le tout était donc organisé et encouragé à toutes les échelles du gouvernement Rwandais en place.

Si l’on revient à la définition du mot génocide, c’est l’extermination d’un point de vue biologique : exterminer tout un peuple.
Dans cette logique meurtrière, ce sont les femmes qui sont une cible de première ligne, il fallait pour le gouvernement les empêcher de vivre et de procréer, mais aussi tuer leurs enfants.
D’où les viols en masse.

Pauline Nyiramasuhuko fut notamment accusée de génocide, crimes contre l’humanité et crimes de guerre.
C’est la première femme à être accusée de ces crimes dans une cour internationale, et la première à être accusée de viol en tant que crime contre l’humanité.
Condamnée à la prison à vie en 2011, sa peine fut réduite en appel en 2015 à 47 ans de prison.

LE VIOL PAR LES SOLDATS FRANÇAIS.

Quand les soldats français sont arrivés dans le pays, lors de l’opération Turquoise, au prétexte de sauver les ultimes survivants d’un génocide impitoyable qui a déjà causé près d’un million de victimes en trois mois, les femmes ont pensé être sauvées.
Mais l’espoir ne fait pas long feu.
Ces soldats français de l’opération Turquoise sont aujourd’hui accusés de nombreux viols. Des crimes qui sont pourtant restés impunis, sans jugement, ni instruction digne de ce nom.

Sur les collines du Rwanda, des soldats français à ce jour non identifiés, ont traité des rescapées terrorisées comme des objets sexuels ; ils entraient dans leur tente à la nuit tombée pour exiger des faveurs.
Censée réhabiliter la République française au Rwanda et porter secours aux Tutsis menacés, l’opération Turquoise se révèle pourtant, comme l’antithèse d’une opération altruiste, charitable et courageuse.
En 2005, une enquête a été ouverte mais n’a pas donné lieu à un procès, faute d’éléments de preuve permettant d’identifier les soldats qui se seraient rendus coupables de ces actes doublement obscènes.
Le viol, bien sûr ; mais pas n’importe lequel. Celui de rescapées en sursis, déjà soumises à la concupiscence et au sadisme de leurs bourreaux, et que des soldats français prétendument venus les secourir avaient traitées comme du gibier sexuel.

TotalEnergies a annoncé ce mercredi des prévisions pour son résultat 2023 : avec un bénéfice net de 21,4 milliards de dollars (19,9 milliards d’euros), Total enregistre un nouveau record absolu après celui de 2022. Le groupe a amélioré son bénéfice net de 4 % par rapport à cette année 2022, pourtant déjà historique.

Alors que nos sociétés sont confrontées à l'urgence climatique et sociale, ceux qui contribuent le plus à accélérer la catastrophe engrangent sous nos yeux des profits indécents. Et le pouvoir continue de montrer les plus précaires et les étrangers comme les responsables de l'augmentation de la pauvreté...