Les quelques mots de cette femme sont déchirants, et en même temps ô combien réconfortants : car il est agréable de voir que malgré les pressions politico-médiatiques dont elle a forcément été victime, elle dénonce avec courage la situation ubuesque qui est la nôtre. Devant des millions de concitoyens, elle étouffe héroïquement ses sanglots pour affirmer clairement que les coupables de la mort de son mari sont ceux qui nous dirigent.

Arrêtez de vous taire, arrêtez d’être inactifs, arrêtez même de n’oser espérer qu’à moitié : ce système déliquescent doit périr et être remplacé par un régime propre. Il ne s’agit pas de voter ou de faire voter RN (dont nous souhaiterions pourtant qu’il applique une partie de son programme) : il s’agit de bâtir l’alternative qui doit nous permettre d’en finir avec la possibilité même que les tarés qui travaillent à notre disparition puissent revenir comme des fleurs tous les 5 ans.

Il s’agit de créer des zones où les racailles n’osent pas agir en toute impunité. L’objectif numéro 1 de tous les Français conséquents est de faire de son coin un putain de village corse, dans lequel la police républicaine reste polie et les racailles se font mettre à l’amende.

Nul besoin pour cela de se prendre pour un voyou ni d’aller s’acheter des armes de guerre : simplement commencer par dire « non » face à l’intolérable, par défendre l’inconnue harcelée dans la rue, le commerçant du coin. Par créer et rejoindre des communautés vivantes et saines, par refaire du lien social, perpétuer des traditions, choisir une vie professionnelle cohérente, s’engager publiquement et envisager une vraie vie de famille.

Parce qu’un village corse ce n’est pas un camp fortifié avec des bodybuilders et des guérilleros : les vieux y ont la bedaine et les jeunes passent leur temps sur leurs téléphones comme ailleurs. C’est simplement un village où, comme dans n’importe quel coin de France d’il n’y a pas si longtemps (et ça existe encore), on a maintenu le sens de la famille, les hiérarchies communautaires, le poids des traditions, et donc l’attachement farouche aux libertés, comme celle de ne pas se faire emmerder par les étrangers. On s’y sent une appartenance commune, familiale, qui dépasse les querelles et les différences de classe.

Mais faire ça, ça nécessite de sortir du commentaire, de l’individualisme, du virtuel, de l’indignation devant la télévision et de la croyance masochiste en une élection magique. Ça nécessite du travail et même de prendre des risques. Ça nécessite de militer, de faire des chose basiques et chiantes comme manifester, tracter, se battre… D’endurer le mépris des sachants, de ceux qui, eux, « font de la vraie politique ».

Mais la chose vaut le coup, évidemment : « la sueur épargne le sang ».

Direction Sécession !

Chers amis, Mon compte Instagram vient de sauter. Je ne m'en étais pas aperçu, c'est quelqu'un qui me l'a signalé sur Twitter. J'ai des amis et des camarades qui me donnent plus d'estime que je n'en mérite, ainsi qu'une femme et des enfants que j'aime par…

Ce durcissement généralisé n'est pas une fatalité pour autant : il est la traduction d'une perte de vitesse du mythe du paradis athée et multiculturel, dont les élites elles-mêmes ont conscience, n'y souscrivant plus qu'en public. Raison de plus pour se donner les moyens de tenir la barre au cœur de la tempête : elle aura forcément une fin.

Direction sécession !

J'ai été, très jeune, vacciné contre le parlementarisme. Très exactement depuis le collège, où javais été élu en Vendée comme "conseiller départemental des jeunes".

La première session m'avait donné une vision très nette du copinage et du nivellement par le bas (déjà!). Nous étions environ 4 candidats à la présidence, disposant d'un petit temps de parole pour convaincre nos pairs de voter pour nous. Une jeune fille, qui connaissait visiblement très bien Véronique Besse, avait joui de plus de temps que nous autres pour débiter un discours bien crétin, bien rodé et dans l'air du temps sur l'inclusivité (qui concernait en particulier les handicapés à l'époque) et le vivre-ensemble (déjà !)
Quant à moi, j'avais tout bonnement été coupé en cours d'intervention par une adulte : il faut dire que le début de mon discours était assez axé patrimoine et guerres de Vendée (déjà !)

Mais bien plus que mon égo de collégien, c'est mon petit coeur de Français qui eut à souffrir d'une visite de notre groupe de jeunes élus à l'assemblée nationale, où j'assistai (déjà!) à des chahuts d'adultes ridicules, s'invectivant, faisant du bruit pour couvrir la parole d'autrui, et s'envoyant des noms d'oiseaux noyés parmi le tumulte, avant de retourner ricaner sur leurs téléphones ou faire tout bonnement la sieste.

Je sais que ça paraîtra exagéré à beaucoup, mais lorsqu'après ce spectacle attristant sous les ors de la République nous sommes allés voir Les noces de Figaro dans le jardin du Luxembourg, j'ai senti de tout mon être que j'avais vu deux civilisations différentes dans la même journée. L'une usurpant le prestige de l'autre, bien entendu.

Depuis rien n'a changé : des parlementaires viennent poser leurs fesses suintantes pour chahuter ou dormir, avant de prendre des airs de dignes indignés devant les caméras dans la salle des pas perdus.

Je peux vous assurer en tout cas que les vociférations insoumises pour la Palestine comme les chouineries israéliennes de Meyer Habib ne sont que l'illustration paroxystique d'un cirque antifrançais commencé depuis longtemps (déjà!), dans lequel tous se tutoient et couchent ensemble, au propre et au figuré.

Et même paré du drapeau tricolore, ce cirque était il y a un siècle déjà le règne de l'Etranger : je vois mal comment il en serait autrement aujourd'hui dans un pays envahi à une époque où l'économie a plus que largement pris le dessus sur le politique et où la majorité des élus patriotes ont la vie privée-pas-si-privée que l'on sait.

Pour en revenir à mon expérience fondatrice : malgré tous mes efforts et après des dizaines de milliers d'euros dépensés en taxis pour venir nous chercher chaque semaine (en hélicoptère même pour une fille de l'île d'Yeu), en voyages inutiles et en goûters gargantuesques qui vinrent à bout de ma combativité, notre mandature de deux ans s'acheva par la distribution de poubelles à chewing-gums dans tous les collèges de Vendée.

Voilà, parce que pour moi aussi, après avoir bien profité, "le temps était venu de vous dire ce que j'avais vu".

— ??/??/?? BREAKING: France is preparing to send a contingent of 2,000 military personnel to Ukraine, according to Russia's Director of Foreign Intelligence - TASS

@Middle_East_Spectator

J'ai une habitude aussi inutile que chronophage : suivre minutieusement l'actualité internationale.

En l'occurrence j'ai du mal à imaginer la prochaine décennie sans guerre mondiale.

Je ne suis pas certain que ce soit une bonne nouvelle.

Depuis hier matin 6h, 16 personnes sont en GAV.
Et il y a au moins 5 jeunes bambins à qui leurs grands-parents expliquent que "papa et maman dorment en prison" parce que coupables d'avoir trop aimé la France.

Pensons à eux tous.

Il y a 15 ans l'OMS classait encore la transexualité comme une maladie mentale.
Allez savoir pourquoi ?

(PS : le premier pays à avoir demandé que ça ne soit plus considéré comme un problème psychiatrique est la France sous Sarkozy...)