[Affiche] Contre la vidéosurveillance à Caen et ailleurs https://trognon.info/Affiche-Contre-la-videosurveillance-a-Caen-et-ailleurs-449
En 2025, la ville de Caen prévoit l'installation de nouvelles caméras de vidéosurveillance et la signature d'un partenariat avec la RATP (qui gère le réseau Twisto) pour optimiser l'utilisation des images du réseau de transport. Cette affiche propose un descriptif du réseau de surveillance local et des pistes pour s'y opposer.
CONTRE LA VIDÉOSURVEILLANCE, à CAEN et AILLEURS

Depuis 2016, la ville de Caen et sa police se sont dotées de caméras de vidéosurveillance et d'un Centre de Supervision et de Commandement (CSC) où sont visionnées en direct les images. Aujourd'hui, il y a plus de 70 caméras dans la ville, sans compter les caméras privées des commerces, celles du réseau de transport, ou nos propres téléphones.
La municipalité prévoit d'augmenter à 100 le nombre de caméras dans toute la ville en 2025, pour un investissement de 700 000 euros. La mairie prévoit également de signer une convention avec la RATP (qui gère le réseau de transport Twisto) pour avoir un accès direct aux images de vidéosurveillance tournées sur le réseau de transport (arrêt de bus, de tram, véhicules…).
Le Centre de Supervision et de Commandement (CSC) est situé dans les locaux de la Police Municipale caennaise, mais la Police Nationale peut y avoir accès à volonté. Ainsi, dans de nombreuses rues, nos moindres faits et gestes sont épiés.
En France, les Jeux Olympiques de Paris 2024 ont été une aubaine pour accélérer partout en France l'emprise des dispositifs de surveillance, par exemple la vidéosurveillance automatisée (VSA), un outil de surveillance biométrique qui, à travers des algorithmes couplés aux caméras de surveillance, détecte, analyse et classe nos corps et comportements dans l'espace public pour alerter les services de police et faciliter le suivi des personnes. La reconnaissance faciale est elle aussi progressivement utilisée, dans des enquêtes de police ou de renseignement.
Très bientôt, c'est le recours à l'Intelligence Artificielle qui sera généralisé, réduisant nos libertés de façon considérable.
Nous ne voulons pas d'une société sécuritaire où l'espionnage quotidien de la population par un État est banalisé. Le but premier de la vidéosurveillance est d'empêcher toute forme de révolte ou d'écart avec la norme dominante. Pour cette raison, il faut l'abolir. C'est partout où elle s'étend qu'il faut agir contre cette technologie. A Caen et ailleurs.
Pour lutter contre la surveillance et les caméras, on peut :
- les répertorier et en faire la cartographie, sur le site Surveillance under Surveillance (https://sunders.uber.space)
- s'informer sur la surveillance et les luttes qui s'y opposent (La Quadrature du Net, technopolice.fr, desoreillesetdesyeux.noblogs.org, infokiosques.net …)
- s'opposer à l'installation de nouvelles caméras, par des recours juridiques (voir https://technopolice.fr/guide-videosurveillance.pdf) ou par l'action directe.
- s'intéresser aux infrastructures qui permettent le bon fonctionnement des réseaux de surveillance. Comme la plupart des installations modernes, les Centres de Supervision, les commissariats et les caméras sont dépendants du réseau électrique, de la fibre optique et des réseaux de télécommunication.
POUR LA FIN DE LA VIDÉOSURVEILLANCE DANS NOS VILLES ET DANS NOS VIES
SABOTONS LE SYSTÈME !
L'affiche au forma

"Révolte et post-révolte au Chili : Expériences de mobilisation sociale et pratiques anarchistes"

FILM ET DISCUSSION !
Nous montrerons la vidéo :
« Tombé amoureux du feu» (CrimethInc., 2024, 65 min) puis nous parlerons des insurrections et des vagues de protestations au Chili ces dernières années avec nos camarades de Solidaridad Obrera de Valparaiso.
30 janvier (Jeudi) 19 heures
*** Squat Kasa Invisível, Belo Horizonte, Brésil.

"Revolta e pós-revolta no Chile: Experiências de mobilização social e práticas anarquistas"
Exibiremos o vídeo:
"Me apaixonei pelo fogo"
(2024, 65 min) e depois conversaremos sobre as insurreições e ondas de protestos no Chile nos últimos anos com os companheiros da Solidaridad Obrera de Valparaiso.
30 de janeiro(quinta-feira)
19 horas

Source 👉 https://t.me/ExWorkers/2864

Traduction 👉 https://t.me/weshlasmala

Processo Askatasuna/NoTav: il collegio di difesa prende parola

Da Radio Blackout

Mentre il processo contro 28 compagn* del centro sociale Askatasuna e militanti No Tav della Val Susa per “associazione a delinquere” sta giungendo al termine del 1° grado – con la richiesta di complessivi 88 anni di carcere e una penale di 7 milioni di euro – assistiamo ad alcune sbilanciate mosse propagandistiche a mezzo televisivo (alcuni servizi andati in onda la scorsa settimana in prima serata su Rete4) per forzare in qualche modo la percezione di quello che si sta giudicando nelle aule di tribunale, con la sovraesposizione del punto di vista della Questura di Torino e il solito montaggio tendenzioso di intercettazioni audio (peraltro non consentito dall’ultimo codice di procedura penale).

🎙️Intervista Avvocato Claudio Novaro

https://radioblackout.org/2025/01/processo-askatasuna-notav-il-collegio-di-difesa-prende-parola/

Si stima che prima dell'arrivo degli europei nel continente americano i bisonti fossero almeno cinquanta milioni.
I nativi americani che abitavano le Grandi Pianure consideravano sacro questo animale. Ne cacciavano, per sopravvivere, circa 280.000 esemplari all'anno, quasi tutti maschi adulti, cercando di mantenerne sempre stabile il numero complessivo. Nella cultura di molte tribù il bisonte, oltre che essere identificato con il dio Wakan Tanka, era venerato perché sacrificava la sua vita per permetterne agli uomini di sopravvivere. Uccidere un bisonte e non consumare tutta la sua carne era considerato un sacrilegio.
Nel 1884 poco più di trecento esemplari sopravvivevano alla mattanza operata dai cacciatori bianchi.
La ferrovia aveva preteso il suo tributo di sangue. I bisonti oltre che essere considerati un pericolo per i movimenti dei treni, fornivano cibo in abbondanza agli operai che lavoravano sui binari.
Ma fu sopratutto il governo federale degli Stati Uniti ad incentivare con premi in denaro, il massacro dei bisonti sia per liberare nuove terre a disposizione degli allevatori sia, sopratutto, per privare i nativi della loro principale fonte di sussistenza.
Come disse un generale americano "per sconfiggere le nazioni indiane hanno fatto più in pochi anni i cacciatori di bisonte, che i soldati in mezzo secolo."
I bisonti erano quasi estinti e con loro moriva la secolare cultura della prateria.

Stockholm (Suède) : salon du livre anarchiste les 17 et 18 août 2024 https://infokiosques.net/spip.php?page=lire&id_article=2132