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Un peu partout, la veillée de Noël a donné naissance à des traditions culinaires originales. Il en est ainsi des fameux « treize desserts » provençaux que détaille goulûment Marcel Pagnol dans La Gloire de mon père : la fougasse à l'huile et à la fleur d'oranger, le nougat blanc et le nougat noir, les « quatre mendiants » – figues sèches, raisins secs, amandes, noisettes –, les noix, les dattes, les pruneaux, les mandarines, les poires et les pommes, le tout accompagné des « sept vins de Noël ». Dans tous les pays d'Europe, une multitude de gâteaux traditionnels aujourd'hui le plus souvent disparus témoignaient de la persistance de traditions demeurées très vivaces jusqu'à l'extinction de l'ancienne civilisation rurale. Noël a également inspiré de superbes chants populaires dont certains – Stille Nacht, Heilige Nacht ou O Tannenbaum – ont rencontré un succès qui a largement dépassé les frontières du monde germanique, et les Noëls qui accompagnaient traditionnellement les messes de minuit constituent un répertoire d'une infinie richesse.
… à celle, plus récente, du père Noël
Le père Noël, ce distributeur de cadeaux dont les petits enfants attendent impatiemment la venue… Lors des saturnales, les anciens Romains s'offraient mutuellement des cadeaux, ces strenae qui sont devenues nos « étrennes » et, que ce soit à l'occasion de la Saint-Nicolas, de Noël, du jour de l'An ou de l'Épiphanie, cette coutume de la remise de cadeaux a perduré. Le père Noël que nous connaissons actuellement, avec sa barbe blanche et sa houppelande rouge, est apparu récemment dans le folklore français en provenance des pays anglo-saxons, mais il semble bien qu'il ait eu chez nous quelques ancêtres significatifs. Le père Chalande savoyard, le père Janvier bourguignon ou l'Olenzaro basque étaient des distributeurs de cadeaux très appréciés des petits ; mais c'est surtout saint Nicolas qui semble avoir fourni le modèle principal. En Allemagne, en Suisse, en Belgique et dans le nord et l'est de la France, c'est lui qui descend dans les maisons par le tuyau de la cheminée pour laisser à chaque enfant un témoignage de satisfaction – jouets ou friandises – ou de mécontentement – morceaux de charbon. Les enfants déposaient leurs souliers auprès de l'âtre, ainsi que du foin ou une carotte destinés à l'âne que le saint utilisait comme monture. En Italie, c'est la fée Befana qui distribue – le 6 janvier, jour de la fête de l'Épiphanie – les cadeaux destinés aux enfants, et c'est au même moment que les petits Espagnols reçoivent les présents que déposent pour eux les Rois mages…
La richesse et la diversité des traditions qui s'y rattachent témoignent de la place qu'occupe la fête de Noël dans l'imaginaire européen et chrétien. Héritier des plus anciennes croyances et moment privilégié de la venue du Sauveur, le temps sacré de Noël apparaît aux sociétés matérialistes contemporaines – qui ressentent confusément la nostalgie de leur foi oubliée – comme l'instant magique où s'opère déjà, au cœur de la nuit, l'inéluctable réenchantement du monde.
Philippe Conrad
Très tôt, l'arbre de Noël est couvert de décorations diverses et équipé de bougies qui permettront de l'illuminer quand viendra la nuit sainte, pour le plus grand émerveillement des enfants. Tannenbaum (sapin) en Westphalie, dans le Schlesvig ou le Mecklembourg, Weinachtsbaum (arbre de Noël) en Poméranie et dans le Brandebourg, Christbaum (arbre du Christ) en Autriche, Souabe ou Franconie, Lichterbaum (arbre illuminé) dans le Harz, les sapins sont devenus, au cours des deux derniers siècles, un élément essentiel des célébrations de Noël.
La crèche, figuration de la Nativité
Symbole des récoltes passées et à venir, la « paille de Noël » permet de confectionner étoiles, animaux ou figures destinés à la décoration de l'arbre. À côté de celui-ci, la crèche maintient le souvenir de la Nativité du Christ. Cette tradition a surtout connu de brillants développements dans les pays de l'Europe latine et catholique comme l'Italie, l'Espagne et le Portugal, mais l'Allemagne du Sud et la France y sont également attachées. Le mot vient du provençal crepcha, et l'on sait l'importance que revêt cette tradition dans les Noëls provençaux. Dès le haut Moyen Âge, des crèches sont installées dans les églises et des jeux liturgiques, dits « jeux de la Nativité », y sont organisés au soir de Noël. Vers 1223, saint François d'Assise aurait célébré la messe dans une grotte où aurait été figurée la scène de la Nativité. Apparue en Italie, la crèche de Noël franchit les Alpes vers le milieu du XIIIe siècle, et ce sont les franciscains qui répandent cette coutume en Provence. En autorisant la figuration d'autres personnages que ceux traditionnellement représentés dans les nativités médiévales, le concile de Trente va considérablement enrichir les crèches réalisées dans l'Europe catholique, envahies désormais par tout un petit peuple de fidèles, celui des paroissiens du temps. À Naples ou dans le Tyrol, les crèches baroques des XVIIe et XVIIIe siècles deviennent de véritables œuvres d'art, riches de dizaines de personnages réalisés en bois, en terre cuite ou en faïence. Installée dans une grotte ou dans une modeste étable, la crèche traditionnelle s'est répandue dans les familles de fidèles où elle ne rassemble plus modestement que les personnages de l'Enfant Jésus, de Marie, de Joseph, des bergers et de Rois mages, sans oublier l'âne et le bœuf, omniprésents dans toute l'iconographie traditionnelle de la Nativité mais absents des textes évangéliques évoquant la naissance du Christ. C'est à la fin du XVIIIe siècle que le Marseillais Jean-Louis Lagnel invente les « santons de Provence », c'est-à-dire les représentants de tout le petit peuple du Midi, assimilés aux santi boni, aux « bons saints » devenus les santoni italiens et les santouns provençaux. Le succès de ces petits personnages et la popularité, aux XIXe et XXe siècles, de la Provence de Mistral, de Daudet et de Pagnol contribuèrent à maintenir très vivante la tradition des crèches et des Noëls provençaux.
Des traditions de l'ancienne civilisation rurale…
Outre le gui et le houx qui contribuent largement aux décorations de Noël, la tradition de la « bûche », aujourd'hui réduite à la consommation de la célèbre pâtisserie, confirme le lien étroit qui unit cette fête de l'hiver à la végétation. À l'origine, on faisait brûler dans la cheminée une véritable bûche, et son embrasement constituait l'un des moments forts de la veillée de Noël. Bénie par le chef de famille, arrosée d'eau-de-vie ou de vin, elle était décorée de rubans et de feuillages, et ses tisons soigneusement conservés étaient censés protéger de la foudre. En Sicile, on la brûlait solennellement devant la crèche figurant la Nativité. Chêne, frêne, tilleul ou olivier, l'arbre utilisé varie selon les régions. Noël est également l'occasion d'un repas exceptionnel, jadis marqué par la consommation de viande de porc, largement remplacée aujourd'hui par la dinde dont la tradition nous vient d'Angleterre, puisque ce serait le roi Henri VIII qui l'aurait mise à l'honneur dans le second quart du XVIe siècle.
La même période précédant Noël correspondait également aux quêtes que les enfants effectuaient au cours des tournées qui les conduisaient dans les différentes maisons du village. Analogues au « pâqueret » des enfants de chœur, elles garantissaient aux donateurs les plus généreux une année prospère, alors que les récalcitrants se voyaient promis aux affres des mauvais sorts.
Symbole fort de la fête anniversaire de la Nativité, l'arbre de Noël
Un sapin toujours vert témoigne de la persistance de la vie, tout comme le lierre et le houx, demeurés verts au cours de la saison froide, annonçaient le retour de Dionysos, dieu grec de la végétation toujours renaissante. C'est en Alsace, au XVIe siècle, que l'on trouve, à l'époque moderne, les premières mentions des sapins de Noël et, en 1604, l'érudit Johann Konrad Dannhauer déplore que « pour Noël, il soit d'usage à Strasbourg d'élever des sapins dans les maisons. On y attache des roses en papier de diverses couleurs, des friandises ou des pommes… » Dès le XIe siècle, un évêque de Worms interdisait à ses ouailles de décorer leur maison « avec de la verdure prise sur les arbres », ce qui sous-entend qu'une telle pratique était répandue dès cette époque. Auteur de la célèbre Nef des fous qui inspira à Jérôme Bosch le tableau conservé au Louvre, Sébastien Brant signale, à la fin du XVe siècle, l'habitude qu'ont prise les gens de décorer leur maison de feuillages divers au moment de Noël. La tradition chrétienne tentera de s'approprier le culte ainsi rendu au « sapin de Noël » en rapportant que saint Boniface, l'apôtre de la Germanie, aurait consacré au Christ un arbre auquel s'attachaient antérieurement des superstitions païennes. Le culte des arbres et le mystère des forêts jouaient un rôle important dans l'ancienne religiosité européenne, et il est clair que l'Église chrétienne a pris soin de « récupérer » ces croyances ; l'arbre de la Connaissance était présent sur le parvis des églises quand on y jouait, au soir de Noël, certains drames liturgiques, ce qui impliquait – pour disposer d'un arbre vert à ce moment de l'année – d'utiliser un sapin. Très répandu en Alsace, l'arbre de Noël gagne dès le XVIIIe siècle le reste de l'Allemagne. En 1795, un livre publié à Nuremberg signale la mise en place d'un Christkindleinbaum, un « arbre de l'Enfant Jésus » décoré de bougies. La Bavière et l'Autriche adoptent cette coutume dans les premières années du XIXe siècle, mais les peuples placés sous l'autorité de la monarchie Habsbourg demeureront un temps réticents face à cette pratique dans la mesure où, issue de l'Allemagne protestante, elle est a priori suspecte. Les troupes allemandes du roi d'Angleterre introduisent cette coutume en Pennsylvanie dès l'époque de la guerre d'Indépendance, et ce sont ensuite des Germano-Américains installés dans le New Jersey et l'Ohio qui l'acclimatent définitivement outre-Atlantique où, dès 1890, le président Harrison fait installer un sapin de Noël à la Maison-Blanche. En Angleterre, c'est une suivante de la reine Caroline de Brunswick, épouse allemande du roi George IV, qui introduit à la cour le premier arbre de Noël en 1821, et la coutume se généralise sous le règne de la reine Victoria, elle-même mariée à un prince allemand, Albert de Saxe-Cobourg-Gotha. À Paris, c'est également une princesse allemande, Hélène-Louise de Mecklembourg-Schwerin, épouse du duc d'Orléans, fils aîné de Louis-Philippe, qui fait dresser aux Tuileries, en 1837, le premier sapin de Noël ; mais il faut attendre les lendemains de la guerre de 1870 et l'extraordinaire popularité de tout ce qui rappelle l'Alsace perdue pour que la coutume se généralise. L'Italie et l'Espagne, terres de forte tradition catholique, demeureront longtemps rétives au sapin de Noël, assimilé à une pratique étrangère, née dans les pays protestants de l'Europe germanique et rapidement adoptée par les Anglo-Saxons et les Scandinaves.
La déesse de la fertilité Geto Dacian datée d'environ 1000 av. J.-C. a été découverte dans l'actuel Adamclisi, comté de Constan ța, Ancienne Tomis (Roumanie)
Nous sommes européens, notre pays, l'Europe, si vous voulez être français soyez le, mais soyez racialiste, hors de la droite au RN, Reconquête, vous ne l'êtes pas. Vous croyez que c'est un concept idéologique qui fait l'appartenance à votre nation et non exclusivement l'ancestralité !
Arberèches (Albanais installés dans le sud de l' Italie depuis le XVème et XVIème siècle
Moscou Russie 🇷🇺
" Les directives contre la musique classique émanent de la presse étatsunienne : le New York Times accuse la musique classique de masquer un “problème raciste”, le National Public Radio observe que ce milieu est "extrêmement blanc et de plus en plus marginalisé", et New Music USA va jusqu’à affirmer que “la musique classique est intrinsèquement raciste”.
Répondant aux injonctions du mouvement Black Lives Matter, un rapport de l’Université d’Oxford récemment médiatisé considère que “la musique blanche européenne de la période esclavagiste cause une grande détresse aux étudiants de couleur”. Apportant sa pierre à la lapidation, le trompettiste “racisé” Ibrahim Maalouf dénonce l’orchestre philharmonique de Vienne pour son “manque de diversité ethnique”. C’est la violoniste chinoise Zhang Zhang qui lui répond : “La musique est le langage de tous les humains. Même quand nous ne parlons pas la même langue nous pouvons jouer ensemble. La musique est un témoignage de notre humanité. Votre haine et la culture de la dénonciation ne passeront pas par nous." "
Thierry Decruzy : "Démondialiser la musique "Une réponse au naufrage musical européen": La Nouvelle Librairie/Iliade, 2022, p.105-106.
j'avais ma 2e fille ce soir chez moi (j'en ai 3) après son cours de musique. Elle est en 6ème. En fait, on a une discussion ou on a abordé l'identitaire. Je lui ai dit déjà qu'il y a beaucoup trop d'étrangers en France, elle m'a dit que pour elle le problème, c'était la religion avec les musulmans qui s'imposent. Je voulais aller plus loin et aborder l'ADN. . Je lui ai dit, nous sommes européens, ça veut dire que nous avons une origine commune les Français, les Anglais , les Espagnols , les Allemands etc ça veut dire que nous pouvons vivre ensemble mais que nous devrions pas vivre avec les africains car nous sommes différents au niveau biologique , les africains ont une peau plus résistante que la nôtre , une peau noire qui résiste au soleil ils sont fait pour vivre en Afrique parce qu'il y a beaucoup de soleil et nous on a une peau blanche on est fait pour vivre dans un climat plus froid avec moins de soleil. J'ai abordé par la suite la question du droit du sang et du sol. Je lui ai dit, tu sais, tu es française parce que moi et maman sont français et qu'avant aussi, qu'on a des ancêtres blancs, tu sais, tu as vu à l'école les ancêtres gaulois ? Et bien, ce sont nos ancêtres directs. Avec le droit du sol on dit qu'un Africain est français parce qu'il est né en France mais lui-même dit qu'il n'est pas français ça ne veut rien dire, et le droit du sol c'est grave ça veut dire qu'à la longue on va disparaître. Imagine, tu vas au Japon vivre avec ton mari français, tu fais un enfant, à ton avis est ce que ça va faire un Japonais? Elle m'a répondu que non évidemment. Elle a bien aimé cette discussion, je suis surpris d'avoir été aussi loin et je suis très content de l'avoir fait, et on a dit ça ne veut pas dire que les autres sont méchants.
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