Un frère Questionne cheikh abdelmajid joumou'a ,l'un des savant d'Algerie concernant Abderrahmane qelqoul qu'Allah le guide et sa nouvelle position avec la jama'a d'Al islah (sa'afiqa d'Algerie )

Le cheikh lui répond
L'homme est sur la religion de son ami

Le Questionneur : Qu'en est il pour la khotba ?

Le Cheikh : Assiste a celui dont son minhaj est clair

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Voici la traduction du bayân écrit par les mashaykh d’Algérie le 18 Dhoû al-Hijja 1445H, correspondant au 24 juin 2024G.

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✅ t.me/MTchalabi

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⚫️قال الإمام أبو جعفر الطحاوي رحمه الله :
« ولا نرى الخروج على أئمتنا وولاة أمورنا وإن جاروا، ولا ندعو عليهم، ولا ننزع يدا من طاعتهم، ونرى طاعتهم من طاعة الله عز وجل فريضة، ما لم يأمروا بمعصية. وندعو لهم بالصلاح والمعافاة.»
⚫️L’imam Aboû Ja’far At-Tahâwî, qu’Allah lui fasse miséricorde, a dit :

« Nous ne voyons pas qu'il soit permis de se révolter contre nos dirigeants et nos gouvernants, même s'ils commettent des injustices.

Nous n’invoquons pas contre eux, et nous ne retirons pas notre main de l’obéissance envers eux. Nous voyons que leur obéissance fait partie de l'obéissance à Allah عز وجل et que c'est une obligation, tant qu'ils n'ordonnent pas de commettre une désobéissance [à Allah].

Nous invoquons en leur faveur, demandant [à Allah] leur réforme et leur préservation. »

? العقيدة الطحاوية

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✅ Traduction : t.me/MTchalabi

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Quel plaisir de croiser Sheikh Lazhar Sniqra , Sheikh Samir Merabi' حفظهما الله après la jumu'a , qui passent le salam, répondent aux questions des frères

الحمد لله أولا وآخرا ولا عزاء للحادقين السروريين

Les sanctificateurs du dr Ferkous arabophones (car les francophones ne sont même pas au courant de tous les égarements du shaykh qu'il défendent) se sont déchaînés avec force envers les mashaykh saoudiens et les dirigeants ces derniers temps jusqu'à les insulter, les dénigrer et autre.

Au point que Abdelkader Houri, un prêcheur proche du dr Ferkous s'est senti le devoir de leur dire d'arrêter ce comportement de haddadi qui n'est pas approprié.

Le Dr Ferkous, en apprenant ça, a invectivé dans son assise Abdelkader Houri et dit qu'il devait se repentir de cela.

Abdelkader Houri s'est alors soumis à l'ordre de son sanctifié en disant :
« Et malgré cela, je vois que le Cheikh, notre père, occupe une place équivalente à celle de mon père et de notre père, et son conseil sert le prêche. Donc, en réponse à son conseil, qu'Allah le protège, et en considération de sa position en tant que réconciliateur entre ses enfants, car il est impossible que le prêche continue parmi des individus qui se dénigrent mutuellement, qui guettent les faux pas les uns des autres, et qui épient les erreurs les uns des autres. Je demande ainsi pardon à Allah et je me repens de ce qui a émané de moi envers mes frères. Je demande à Allah, par Sa Grâce et Son immense Générosité, de nous pardonner à tous, et Louanges à Allah, Seigneur des mondes."

Le sanctifié Ferkous a alors dit publiquement au sujet de son repentir :
« C'est une réponse invalide... Ne jette pas de la poudre aux yeux.
Je t'ai démasqué... tu es marginalisé...!! »

Voilà le sort réservé à toute personne qui émet la moindre réserve contre le plan de marche du nouveau minhaj du docteur Ferkous. Soit tu critiques les dirigeants et les mashaykh, soit tu es marginalisé. Il n'en a que faire de son repentir, il veut des gens totalement soumis à ses ordres et défendant aveuglément ses positions.

?جـديـد الردود ?

?شبهة أسامة العتيبي والرد عليها?

▪️قال العتيبي الفتان:

كلامك أخي .. فيه نظر.. وكأنك لم تقرأ كلام السلف في المسألة..

كثير من السلف وقع في الإنكار العلني في حضرة السلطان، وكذلك في غيبته، بل حصل منهم قتال بالسيوف ضد السلطان، وكان مقصودهم نصرة الحق، ونصرة الدين فأخطؤوا في ذلك وتبين للناس خطورة الإنكار العلني، لا سيما ما يكون مصحوبا بالتهييج على السلطان والسعي لإسقاطه والخروج عليه كما هو منهج الخوارج...
فلابد من التفريق بين مقاصد السلف وأهل العلم والسنة، ومقاصد الخوارج.

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بسم الله الرحمن الرحيم

[ من يبلغ أسامة عطايا مكتوبي هذا ]

▪️أجل قد ترك حديث عياض بن غنم
بدليل أنه يضلل طلاب العلم بتكراره ان بعض السلف خرجوا على الإمام بالسيف مشيرا إلى الذين خرجوا على الحجاج مع ابن الاشعث ثم ندموا بعدما هزم ابن الاشعث وقُتل .

وحكى العلماء وقوع الاجماع على تحريم الخروج على الحاكم المسلم بعد فتنة ابن الأشعث
ومثل سعيد بن جبير ربما لم يبلغه حديث عياض بن غنم عندما قاتل مع ابن الأشعث

فهل الحجة في كلام رسول الله أو في خطأ بعض علماء السلف؟
يا أسامة لما يقرأ طالب العلم كلامك هذا
ماذا يقع في خلده؟
والمصيبة أنك أغفلت ذكر حديث عياض( من أراد أن ينصح لذي سلطان فليأخذ بيده) الحديث

ودائما تكرر أن الشيخ العباد كان ينكر على الملك والوزراء
( وكذبت هنا كذبة كبرى)
فما رأينا الشيخ وصل إلى مقام الملك
لأنه لعله يرى أن النهي في حق السلطان ونائبه فقط
وقد رأيت له تصريحا بنحو هذا قريبا جدا

يا أسامة تتهمني بالكذب وأنت الكاذب
تكرر أن العلامة الشيخ ربيع لايرى البيعة لمن لا يحكم بالشريعة
وتحديتك مرارا أن تثبت على الشيخ بكتابته أو بصوته فنكصت وعجزت
علما بأن تقريرات الشيخ عكس ذلك
يا أسامة

وتقسم بالله  أن أخطاء الشيخين الجليلين العباد وربيع عشرة أضعاف أخطاء فركوس
وأقول لك كذبت وفجرت بيمين غموس
وأنت تعلم الفرق بين الخطأ والانحراف الذي يسير في دربه فركوس.

وختاما لقد ضللت على علم لهوى ملأ راسك واضللت بعض من لا عقول عندهم.

✍كتبه : محمد العمير
?يوم : الأحد 18 ذو القعدة 1445 هـ

http://t.me/Otroodja

Ambiguïté d'Oussama al-'Utaybi et réponse à cela ?

▪️ Al-'Utaybi le semeur de discorde a dit :

"Ce que tu dis, mon frère, est sujet à réflexion... C'est comme si tu n'avais pas lu les paroles des salafs sur cette question. Beaucoup de salafs sont tombés dans la critique publique en présence du dirigeant, ainsi qu'en son absence. Certains ont même combattu le dirigeant avec des épées, leur intention étant de faire triompher la vérité et la religion. Ils ont commis une erreur en cela, et les dangers de la réprimande publique sont devenus clairs pour les gens, surtout lorsque cela est accompagné d'incitation à l'encontre du dirigeant et de tentative de le renverser et de se rebeller contre lui, comme est la méthodologie des khawaridj... Il est donc nécessaire de différencier les intentions des salafs et des gens de science et de la sounnah, et les intentions des khawaridj."

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▪️Réponse de cheikh Mouhammad Ibn Rabi' al-Madkhali, qu'Allah le préserve :

بسم الله الرحمن الرحيم

[Que celui qui peut transmettre cet écrit à Oussama 'Ataya le fasse]

▪️ En effet, il a omis le hadith de 'Iyad ibn Ghanm, en induisant les étudiants en erreur en répétant que certains des salafs se sont rebellés contre l'imam (le dirigeant) avec les épées, faisant référence à ceux qui se sont rebellés contre al-Hajjaj avec Ibn al-Ash'ath, puis ont regretté après que Ibn al-Ash'ath ait été vaincu et tué.

Les savants ont relaté que le consensus s'était formé sur l'interdiction de se rebeller contre le gouverneur musulman après la fitna d'Ibn al-Ash'ath. Le hadith de 'Iyad Ibn Ghanm n'était, par exemple, peut-être pas parvenu à Sa'id ibn Jubayr, lorsqu'il a combattu avec Ibn al-Ash'ath.

Alors, l'argument réside-t-il dans les paroles du Messager d'Allah ou dans l'erreur de certains savants des salafs ?
Ô Oussama, quand un étudiant en sciences lit tes paroles-ci, qu'est-ce qui lui vient à l'esprit ?
Le fléau, c'est que tu as omis de mentionner le hadith de 'Iyad ("Celui qui veut conseiller un dirigeant, qu'il le prenne par la main") le hadith.

.#وتتوالى_ردود_العلماء_على_السروري_فركوس **(ردّا على المقدس الذي قال: فركوس سيملأ الفراغ الذي تركه اللحيدان وعبيد -رحمهما الله-)

▪️قال الشيخ العالم محمد بن ربيع المدخلي -حفظهما الله-: بعد وفاة القرضاوي والزنداني وقع فراغ، لكن سيملأ هذا الفراغ المدعو فركوس.**http://t.me/Otroodja

?Cheikh Sulaymān Ibn Salīmullah Ar-Ruhayly a dit :

« Je vois qu’il y a sur la scène de la da‘wâ une grande tromperie qui essaye de faire croire aux gens que certains savants autorisent la réprimande publique du gouverneur. Il est rapporté des choses qui ne sortent pas de deux choses :
L'une des deux est qu’il n’y a pas d’origine à ce sujet et la deuxième est que la meilleure chose qui a été dite à ce sujet est que cela fasse partie des choses à équivoques. Ils délaissent ce qui est sans équivoque de leurs paroles, ce dont il y a un texte qui interdit cela.
Fait partie de cette supercherie le fait de faire croire aux gens que le savant Cheikh ‘Abd Ar-Razāq El-Badr voit qu’il soit permis de réprimander le gouverneur en public et qu’il accepte cela. Ce que je connais du noble Cheikh ‘Abd Ar-Razāq depuis l’époque est qu’il interdit la révolte contre le gouverneur musulman, interdit de l’insulter, de le rabaisser et de le réprimander en public.
Qu’Allah raffermisse celui qui prend le droit le chemin dans ce sujet et guide celui qui s’est égaré, a glissé ou qui s’est trompé. »

✍Tweet du Cheikh le 7 Mai 2024 sur son compte tweeter

Traduit par la chaîne :
https://t.me/za3imelinkar

Modification interdite ?

Telegram

Za'īm El-Inkār El-'Alany

Chaîne qui expose en français les erreurs du Docteur Mohamed 'Ali Ferkous. Qu'Allah préserve le président, l'armée et la police en Algérie Contact: [email protected]

?Complément du athar qui n'apparaît pas dans la fatwa du Dr Ferkous qui met en évidence que le noble compagnon Ibn 'Abbas رضي الله عنه ne voit pas la permission de réprimer publiquement les gouverneurs, mais qu'il s'en tient plutôt au hadith du Prophète ﷺ dans lequel ce dernier a dit :
"Celui qui désire porter conseil à un détenteur d'autorité, qu'il ne le fasse pas publiquement, mais qu'il le prenne plutôt par la main et s'isole avec lui. Si ce dernier accepte son conseil, ceci est l'objectif, et s'il refuse alors il aura accompli ce qui lui incombe."

Mohammed Ali Ferkous mentionne dans une de ses fatwa le athar de Sa'id Ibn Joubeyr رضي الله عنه en disant :

« Lorsque Sa'ib Ibn Joubeyr رضي الله عنه a dit à Ibn 'Abbas رضي الله عنه :
Dois-je ordonner le convenable à mon dirigeant et lui proscrire le blâmable?
Ibn 'Abbas رضي الله عنه a alors répondu:
"Si tu crains qu'il te tue, alors non."
Et dans une version, un homme a dit à Ibn 'Abbas رضي الله عنه :
Dois-je ordonner le convenable à mon dirigeant?
Il a répondu :
"Si tu as peur qu'il te tue, alors ne cherche pas à réprimander le dirigeant."
(Moussannaf Ibn Abi Sheyba, 37307) »

Puis a rajouté après cela:

« Il (Ibn 'Abbas) n'a donc pas renié le fondement de la réprimande faite publiquement (el inkar el 'alani) , mais a uniquement restreint et limité sa permission au fait d'être à l'abri d'être tué ou en danger, et de ne pas critiquer ni générer de trouble. »

Fin de ses propos.

Une des sources mentionnées référençant ce athar dans sa fatwa est «le Moussannaf» d'Ibn Abi Sheyba رحمه الله, n° 37307.
Dans lequel Ibn 'Abbas a dit (selon la fatwa) :
"Si tu as peur qu'il te tue, alors ne cherche pas à réprimander le dirigeant . ❌"

Autre source également mentionnée référençant ce athar dans la fatwa, «Shou'ab el īmān» d'El Bayhaqi, n° 7186.
Dans lequel Ibn 'Abbas dit également (selon la fatwa) :
" Si tu crains qu'il te tue, alors non. ❌"

En se référant aux ouvrages en question, on trouve le athar complet, avec le passage que le Dr Ferkous n'a pas cité dans sa fatwa, et qui est le témoin argumentatif de ce athar et qui résume la position et l'avis d'Ibn 'Abbas à ce sujet, dont le contenu est le suivant:

37307. D'après Sa'id Ibn Joubeyr qui dit: un homme a dit à Ibn 'Abbas:
Dois-je ordonner le convenable à mon dirigeant?
Il a répondu:
“ Si tu as peur qu'il te tue, alors ne cherche pas à réprimander le dirigeant. ➡️ Mais si tu n'as d'autre choix que de le faire, alors veille à ce que cela se fasse entre toi et lui. ”
[ Moussannaf Ibn Abi Sheyba]

7186. D'après Sa'id Ibn Joubeyr qui dit: J'ai dit à Ibn 'Abbas:
Dois-je ordonner le convenable à mon dirigeant?
Il a répondu:
“ Si tu as peur qu'il te tue, alors non. ➡️ Mais si tu n'as d'autre choix que de le faire, alors, veille à ce que cela se fasse entre toi et lui. ”
Abou 'Awāna a ajouté:
Et ne fais pas de médisance à propos de ton dirigeant.
[ Shou'ab el īmān d'El Bayhaqi]

Lorsqu'Ibn 'Abbas رضي الله عنه dit "si tu n'as d'autre choix que de le faire" , cela signifie : si vraiment il y a une nécessité impérieuse, que tu t'y trouves contraint,... alors veille à ce que cela se fasse entre toi et lui. C'est-à-dire : en privé.
C'est ce qui résume le propos et la position d'Ibn 'Abbas رضي الله عنه et il n'est donc catégoriquement pas permis de le supprimer dans l'argumentation, ni du point de vue de la législation, ni du point de vue du contexte.

t.me/albayanalmoufid